Le vote massif des députés chiliens reflète l’intérêt accordé à la recherche d’une solution au conflit artificiel autour du Sahara

 L’adoption par la Chambre des députés du Chili d’une résolution de soutien à l’initiative marocaine d’autonomie reflète le degré d’importance qu’accorde cette institution à la recherche d’une solution au conflit artificiel autour du Sahara marocain, a indiqué le député chilien, Roberto Leon Ramirez.

Le « vote en faveur de cette résolution traduit le degré d’importance qu’accorde la Chambre des députés chilienne à la recherche d’une solution au conflit artificiel autour du Sahara marocain », a affirmé le député dans un entretien accordé à la MAP.

Cette résolution, votée mercredi à une écrasante majorité à la Chambre des députés à Valparaiso, est synonyme d’un soutien des députés et de la République du Chili, à la proposition marocaine d’autonomie au Sahara, laquelle a été qualifiée par les Nations Unies et l’ensemble de la communauté internationale en tant qu’« initiative sérieuse et crédible ».

Elle représente, selon M. Leon Ramirez, une décision très importante pour le Chili faisant suite à de multiples visites de députés chiliens au Maroc et à ses Provinces du Sud, une région en forte mutation et dont les multiples projets de développement donneront naissance à un nouveau pôle économique du Royaume, un pays leader en Afrique qui préserve et œuvre pour le développement de l’ensemble du continent africain.

Cette décision traduit également la grande compréhension entre le Chili et le Maroc, qui entretiennent de fortes relations bilatérales couvrant plusieurs domaines, dont la culture, les échanges commerciaux et le sport, a relevé le juriste et politique chilien.

Dans cette résolution, votée par 66 voix pour, les députés chiliens ont salué la prééminence de l’initiative d’autonomie du Sahara présentée par le Maroc en 2007 en vue de mettre fin à un différend régional qui n’a que trop duré.

A cet égard, les députés chiliens ont salué en l’initiative marocaine un « effort sérieux et crédible, qui permettra sans aucun doute aux populations du Sahara d’exercer leur droit à l’autodétermination, en gérant démocratiquement leurs propres affaires par l’intermédiaire d’organes législatifs, exécutifs et judiciaires, qui jouissent de pouvoirs exclusifs sous la souveraineté du Maroc ».

En vertu de cette résolution, la Chambre des députés demande au gouvernement chilien, en sa qualité de membre des Nations Unies, de soutenir et de s’engager de manière permanente en faveur de la résolution n° 1754 du Conseil de Sécurité, adoptée le 30 avril 2007.

Le Maroc et le Chili sont liés par un accord de coopération dans le domaine parlementaire portant sur la mutualisation des efforts pour la consolidation de la démocratie, des droits de l’homme et de l’égalité basée sur le genre.

Un accord signé l’année dernière à Valparaiso entre la Chambre des conseillers et la Chambre des députés chilienne prévoit la coordination des positions et la consultation au niveau des forums internationaux, outre l’échange d’expériences et d’expertises entre les institutions législatives des deux pays, lesquels ont toujours affiché leur volonté d’aller de l’avant sur la voie du développement et de la promotion des relations bilatérales.

L’accord de partenariat, signé en janvier 2017, a été suivi, quelques mois plus tard, par la signature d’un mémorandum d’entente entre la Chambre des conseillers et le Sénat chilien aux fins d’instaurer un partenariat exemplaire basé sur le partage des mêmes visions concernant les défis auxquels les institutions législatives font face de par le monde, dans un espace en permanente mutation.

Le « vote en faveur de cette résolution traduit le degré d’importance qu’accorde la Chambre des députés chilienne à la recherche d’une solution au conflit artificiel autour du Sahara marocain », a affirmé le député dans un entretien accordé à la MAP.

Cette résolution, votée mercredi à une écrasante majorité à la Chambre des députés à Valparaiso, est synonyme d’un soutien des députés et de la République du Chili, à la proposition marocaine d’autonomie au Sahara, laquelle a été qualifiée par les Nations Unies et l’ensemble de la communauté internationale en tant qu’« initiative sérieuse et crédible ».

Elle représente, selon M. Leon Ramirez, une décision très importante pour le Chili faisant suite à de multiples visites de députés chiliens au Maroc et à ses Provinces du Sud, une région en forte mutation et dont les multiples projets de développement donneront naissance à un nouveau pôle économique du Royaume, un pays leader en Afrique qui préserve et œuvre pour le développement de l’ensemble du continent africain.

Cette décision traduit également la grande compréhension entre le Chili et le Maroc, qui entretiennent de fortes relations bilatérales couvrant plusieurs domaines, dont la culture, les échanges commerciaux et le sport, a relevé le juriste et politique chilien.

Dans cette résolution, votée par 66 voix pour, les députés chiliens ont salué la prééminence de l’initiative d’autonomie du Sahara présentée par le Maroc en 2007 en vue de mettre fin à un différend régional qui n’a que trop duré.

A cet égard, les députés chiliens ont salué en l’initiative marocaine un « effort sérieux et crédible, qui permettra sans aucun doute aux populations du Sahara d’exercer leur droit à l’autodétermination, en gérant démocratiquement leurs propres affaires par l’intermédiaire d’organes législatifs, exécutifs et judiciaires, qui jouissent de pouvoirs exclusifs sous la souveraineté du Maroc ».

En vertu de cette résolution, la Chambre des députés demande au gouvernement chilien, en sa qualité de membre des Nations Unies, de soutenir et de s’engager de manière permanente en faveur de la résolution n° 1754 du Conseil de Sécurité, adoptée le 30 avril 2007.

Le Maroc et le Chili sont liés par un accord de coopération dans le domaine parlementaire portant sur la mutualisation des efforts pour la consolidation de la démocratie, des droits de l’homme et de l’égalité basée sur le genre.

Un accord signé l’année dernière à Valparaiso entre la Chambre des conseillers et la Chambre des députés chilienne prévoit la coordination des positions et la consultation au niveau des forums internationaux, outre l’échange d’expériences et d’expertises entre les institutions législatives des deux pays, lesquels ont toujours affiché leur volonté d’aller de l’avant sur la voie du développement et de la promotion des relations bilatérales.

L’accord de partenariat, signé en janvier 2017, a été suivi, quelques mois plus tard, par la signature d’un mémorandum d’entente entre la Chambre des conseillers et le Sénat chilien aux fins d’instaurer un partenariat exemplaire basé sur le partage des mêmes visions concernant les défis auxquels les institutions législatives font face de par le monde, dans un espace en permanente mutation.

Propos recueillis par Brahim Salaheddine AMHIL

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