Les prix de l’énergie ont marqué une hausse de l’ordre de 81% (BAM)

Le secteur énergétique, se trouve toujours face aux défis de la pandémie, et d’autres facteurs qui entourent le monde. En effet la situation épidémiologique, impacte toujours les statistiques des secteurs économiques et énergétiques au Maroc, et dans le monde.. En effet la situation épidémiologique, impacte toujours les statistiques des secteurs économiques et énergétiques au Maroc, et dans le monde.

En 2021, une vague d’inflation a été déclenché par le biais de plusieurs facteurs, qui sont surtout dus aux enjeux géopolitiques qui ont fortement impactés l’économie mondiale. Les tensions politiques sont quant à elle très certaines.

Cependant et « Grâce à la campagne de vaccination, et aux mesures préventives pour la lutte contre la covid19, l’économie a pu dépasser quelques défis parmi ceux qui se sont posé au cours de la situation épidémique », a rappelé Bank Al Maghrib (BAM) dans son rapport 2021, sur la situation économique du royaume. Autre fait, elle relève que les prix de l’énergie ont marqué une hausse très remarquable de l’ordre de 81%.  Ceci dit les pays qui importent les matières énergétiques, sont les plus impacté par ce fait, note BAM.

En effet cette évolution constitue un facteur crucial, qui pose les pays importateurs dans l’obligation de trouver des solutions, aux défis que rencontrent. Et ce en adoptant de nouvelles stratégies, et politiques d’atténuation pour dépasser ce genre de crises.

Le Maroc et pour faire face à ce genre de freins, et en vue de lutter contre le changement climatique, le Maroc a initié en 2009, des stratégies pour assurer son indépendances, grâce aux énergies renouvelables, en espérant économiser 20% d’énergie, dans les environs de 2030.

Nous distinguons alors un ensemble d’enjeux qui permettent de redouter le développement de cette matière, et c’est ici que nous pouvons parler d’intensité énergétique, surtout que la notion de rendement des énergies demeure un concept vaste, compliquée et immaitrisable.

Le fait de décortiquer le développement qui a caractérisé l’intensité énergétique finale pour la période de 2004 et 2019, nous pose devant 3 étapes primordiales, celle qui date de 2004 jusqu’à 2009, enregistrant un recul de 1,8% en moyenne annuelle à 15,3 TEP/MDH, ceci dit cette amélioration représente ainsi une baisse de 3,4% dans le résidentiel, une immobilité aussi bien dans le tertiaire, qui touche 49,1% de la consommation nationale d’énergie, ainsi au niveau du second qui marque une hausse de 1,6% dans le primaire, avec un recours accru à l’irrigation, en enregistrant de modestes précipitations, qui reflètent une augmentation dans la notion d’intensité énergétique.

Il est à signaler qu’une stabilité a été marquée dans la période entre 2014 et 2019, pendant 5 ans au niveau de l’intensité énergétique, caractérisé par une atténuation de la baisse dans le secondaire et une immobilité dans le primaire, ainsi qu’un retournement de tendance dans le tertiaire avec une évolution annuelle qui égale à 0,8%. Or sur le niveau résidentiel, la stabilité est restée dans les environs de 0,5 tonne équivalent pétrole (TEP) pour chaque ménage.

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