Lorsque « Amnesty International » se fait le chantre des terroristes

Par Hossein Ait Marghad

Une fois n’est pas coutume, l’ONG humanitaire « Amnesty International » refait parler d’elle… et pas dans le bon sens du terme.

Cette fois-ci, c’est le peuple français, dans son ensemble, qui pointe du doigt l’hypocrisie de cette ONG, censée pourtant, promouvoir la défense des droits de l’homme et le respect de la déclaration universelle des droits de l’homme, mais qui se retrouve à défendre les intérêts des « ennemis de la vie », à savoir les terroristes sanguinaires, qui lorgnent tels des loups solitaires en Europe, en attendant le moment fatidique du passage à l’acte.

En effet, le 11 avril 2021, « Amnesty International » s’est faite remarquée par un communiqué invraisemblable, dans lequel elle fustige l’expulsion, par les autorités françaises, d’un tchétchène du nom de « Magomed Gadaev », en qualifiant cette mesure d’ »illégale », alors même que l’ »Office Français de Protection des Refugiés et Apatrides » (OFPRA) a refusé, en 2020, de lui octroyer le statut de refugié politique et ce, pour « comportement de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de l’Etat » et « connexions manifestes avec des mouvements extrémistes violents et des activités à caractère terroriste ».

Les français, qui ne se sont toujours pas remis de l’assassinat tragique, le 16 octobre 2020, du professeur d’histoire-géographie, Samuel Paty, décapité à sa sortie du collège par le terroriste….tchétchène, Abdullah Anzorov, se voient donc reprocher, 06 mois plus tard, par « Amnesty International », d’avoir « illégalement » expulsé un citoyen tchétchène, pourtant « fiché S » et, d’après un communiqué du ministère de l’intérieur français, « connu pour ses liens de longue date avec la mouvance islamiste et du jihad international ».

Furieux de ce « communiqué de la honte », les internautes français sont allés jusqu’à accuser « Amnesty International » d’encourager le terrorisme… et il faut bien reconnaitre que ces accusations sont quelque peu légitimes, surtout lorsque l’on apprend que cette ONG n’est pas à son premier coup d’essai.

Et pour cause, En 2008, « Amnesty International » avait mené, avec succès, une intense campagne médiatique pour la libération du terroriste belgo-marocain, Oussama Atar alias « Abu Ahmed Al-Iraki », condamné, en 2005, à 10 ans d’emprisonnement en Irak, avant d’être libéré, en 2012, grâce à la pression exercée par cette ONG sur les autorités irakiennes, entrainant, ainsi, quelques années plus tard, la mort de plus de 160 personnes en France et en Belgique, sachant que les investigations révéleront que ce terroriste affilié à « Daech » fut l’instigateur principal des attentats du 13 novembre 2015 à Paris et ceux du 22 mars 2016 à Bruxelles.

Rebelote en 2011, cette fois-ci c’est le terroriste allemand d’origine marocaine, Mohamed Hajib alias « Abou Omar Al-Almani » qui sera l’heureux bénéficiaire de la campagne médiatique menée par « Amnesty International », sachant que cette ONG était le relais principal de cet ex-membre d’Al Qaida, qui depuis sa libération en 2017, après 07 ans d’emprisonnement au Maroc, ne cesse d’inciter, à partir de son lieu de résidence en Allemagne, les marocains à commettre des actes criminels à l’effet de faire le maximum de dégâts humains possible.

Il s’avère que même la presse étrangère, à l’instar du quotidien britannique « The Times » a fustigé cette collaboration pour le moins incongru, entre les terroristes et « Amnesty International », comme en attestent les révélations, en 2015, du journaliste d’investigation anglais, Andrew Norfolk, faisant part des liens tendancieux, entre l’ex-directrice des droits humains au sein d’ »Amnesty International », Yasmin Hussein, et certains dangereux fondamentalistes, affiliés aux « Frères Musulmans » et à « Hamas ».

Malheureusement, il devient aujourd’hui claire, comme l’eau de roche, que l’ONG humanitaire « Amnesty International » a perdu, depuis belle lurette, ses principes fondateurs, devant faire de l’individu le centre de ses préoccupations, car cet organisme est dorénavant guidé par l’appât du gain, ne cherchant à exister qu’à travers le « buzz » suscité par ses prises de positions polémiques et contraire aux droits humains, comme le prouve son soutien criminel aux terroristes sans foi ni loi.

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