Lorsque les jappements d’Eric Goldstein sur le Maroc, deviennent inaudibles …même pour HRW

Dans un tweet à la subjectivité criante, Eric Goldstein n’a pas hésité à se féliciter de la publication par le blog du « Washington Post », d’un article « attribué » à l’ex-opératrice-standardiste du quotidien « Akhbar Al Yaoum », Afaf Bernani, ayant allégué que la police marocaine l’a poussée à porter plainte contre Taoufik Bouachrine pour viol.

Le directeur-adjoint de Human Rights Watch pour la région Mena, Eric Goldstein, s’est non seulement fendu d’un tweet reprenant le billet d’humeur d’une ancienne groupie de Taoufik Bouachrine, mais a définitivement enlevé tout doute autour de sa marocophobie, qu’il n’arrive plus à dissimuler dans le cadre de sa fonction.
Ce responsable humanitaire nourrit à l’égard du Maroc une haine indescriptible et incompréhensible, dont l’intensité s’est curieusement amplifiée depuis le parachutage par Moulay Hicham de Ahmed Reda Benchemsi au poste de porte-parole de la même ONG, au point de ne rater, aujourd’hui, aucune occasion, de fustiger les institutions marocaines, réduites, aux yeux de Goldstein, à des maillons d’une machine à répression.
Ce discours trop nihiliste pour être honnête, venant d’un représentant des droits de l’homme a de quoi interroger. Au-delà de son acharnement à vouloir mettre en place une « dictature des bisounours » en dénonçant tout ce qu’il considère comme portant atteinte aux droits de l’homme, Goldstein n’a, à aucun moment de ses 31 ans de carrière au sein de HRW, épinglé positivement le Royaume, malgré les efforts herculéens consentis par le pays, notamment lors de ces 20 dernières années. Son militantisme anti-marocain est d’autant plus flagrant qu’il a fossilisé sa rhétorique à l’égard du royaume, pendant que ce dernier avançait tranquillement vers le développement.
Sans verser dans le propos diffamatoire et injurieux, domaine dans lequel excellent Goldstein et ses sbires, il est curieux de constater que son tropisme anti-marocain est tellement profond, ressassé et basé sur les mêmes éléments de langage et figures de style, qu’il ne serait pas surprenant d’en retrouver des traces dans ses données biométriques.
Même ses paires au sein de HRW, lorsqu’ils rédigent un communiqué officiel au nom de l’ONG, n’hésitent pas à attribuer explicitement à Goldstein certains passages aussi diffamatoires que subjectifs, afin de se dédouaner de la vilénie du bonhomme à l’égard de tout ce qui représente le Maroc. C’était le cas, en juillet dernier, lorsque l’ONG exprimait, dans un communiqué, son appréhension à l’égard de l’arrestation du journaliste Omar Radi, accusé de viol. Un communiqué dans lequel Goldstein a eu droit à un encadré reprenant ses déclarations, comme si cette entité n’assumait pas le tropisme anti-marocain de son directeur adjoint.
Fervent utilisateur de la toile, Goldstein semble toutefois buguer lorsqu’il s’agit de l’application Maroc et refuse d’effectuer sa mise à jour. Peut-être, faudrait-il le soumettre à un examen « Citizen Lab », pour voir s’il n’a pas fait l’objet d’une injection réseau par un logiciel espion fabriqué sous les tentes de Tindouf et manipulé par l’Algérie, au lourd dossier droit-de-l’hommiste, sur lequel Goldstein reste, d’ailleurs, curieusement mutique.

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