Ouverture des travaux de la réunion d’urgence de l’UPA autour des violations israéliennes flagrantes de la sacralité de la mosquée d’Al-Aqsa

Les travaux de la réunion d’urgence de la 25ème Conférence de l’Union parlementaire arabe (UPA) autour des violations israéliennes flagrantes de la sacralité de la mosquée Al-Aqsa, ont débuté jeudi à Rabat.

Cette conférence, qui se tient sur invitation du parlement marocain, intervient dans un contexte marqué par des agressions israéliennes de la sacralité des lieux saints et l’interdiction des fidèles d’accomplir la prière du vendredi à la mosquée Al-Aqsa, ce qui constitue une violation flagrante du droit international, un acte de provocation hostile aux sentiments de l’ensemble des Musulmans et une atteinte aux droits des Palestiniens.

S’exprimant à cette occasion, le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki a indiqué que cette conférence se tient suite à la nouvelle agression de l’occupation israélienne contre le peuple palestinien, en violation de la légitimité internationale, des lois et conventions internationales et des principes et des valeurs humains, insistant sur le droit des Palestiniens au libre exercice des rites religieux à Al-Aqsa.

Cette réunion d’urgence de l’Union portera sur le rôle juridique des parlementaires en tant que représentants des peuples, une position qui remet en question leur responsabilité en matière de défense d’Al-Aqsa et d’Al Qods, a-t-il souligné, notant qu’Israël affiche une forte volonté visant à changer la situation actuelle à Al Qods en adoptant une politique dégradante vis-à-vis du peuple palestinien, en violation du droit international, ce qui conduira sans nul doute à une confrontation religieuse sans précédent dans la région.

L’organisation de cette réunion à Rabat est une illustration du soutien permanent du Maroc à la question palestinienne, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, président du Comité Al-Qods, a-t-il dit, affirmant que le Souverain a toujours soutenu la cause palestinienne à travers plusieurs actions, notamment via l’Agence Bayt Mal Al Qods et rappelant la lettre royale adressé au Secrétaire Général de l’ONU au sujet des violations israéliennes contre Al Qods occupé.

Israël détruit toute lueur d’espoir permettant d’instaurer la paix au Moyen-Orient, a déploré M. El Malki, relevant que cette situation exige des peuples arabes de réagir et d’adopter une nouvelle politique qui répond aux enjeux stratégiques.

De son côté, le président de la Chambre des Conseillers, Hakim Benchamach, a souligné que la situation actuelle s’explique par le déchirement et le rétrécissement du système régional, ainsi que la division qui marque les relations entre les pays, notant que les Etats de la région subissent les conséquences des différends internes, des conflits interethniques, de l’extrémisme violent et du terrorisme.

Il a, ainsi, tiré la sonnette d’alarme sur le déclin de la solidarité internationale avec la question palestinienne, appelant à l’élaboration d’un plan de plaidoyer urgent et d’une pétition parlementaire destinée à l’Union Interparlementaire en vue de consolider la conscience internationale autour de la cause palestinienne, d’envoyer une délégation internationale pour s’informer sur la situation à Al Qods et d’adopter une résolution concernant le statut juridique de cette ville.

Fondée en 1974, l’UPA, qui regroupe les chambres parlementaires arabes, s’assigne pour objectifs le renforcement du dialogue et de la concertation entre les parlements arabes, la consolidation de l’action commune et la coordination des efforts parlementaires dans différents domaines.

La déclaration finale de la 24e Conférence de l’UPA, tenue en mars 2017 à Rabat, a souligné l’impératif de porter la cause palestinienne en tête des préoccupations de la Oumma et de soutenir le peuple palestinien dans sa lutte contre l’occupation israélienne.Les travaux de la réunion d’urgence de la 25ème Conférence de l’Union parlementaire arabe (UPA) autour des violations israéliennes flagrantes de la sacralité de la mosquée Al-Aqsa, ont débuté jeudi à Rabat.

Cette conférence, qui se tient sur invitation du parlement marocain, intervient dans un contexte marqué par des agressions israéliennes de la sacralité des lieux saints et l’interdiction des fidèles d’accomplir la prière du vendredi à la mosquée Al-Aqsa, ce qui constitue une violation flagrante du droit international, un acte de provocation hostile aux sentiments de l’ensemble des Musulmans et une atteinte aux droits des Palestiniens.

S’exprimant à cette occasion, le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki a indiqué que cette conférence se tient suite à la nouvelle agression de l’occupation israélienne contre le peuple palestinien, en violation de la légitimité internationale, des lois et conventions internationales et des principes et des valeurs humains, insistant sur le droit des Palestiniens au libre exercice des rites religieux à Al-Aqsa.

Cette réunion d’urgence de l’Union portera sur le rôle juridique des parlementaires en tant que représentants des peuples, une position qui remet en question leur responsabilité en matière de défense d’Al-Aqsa et d’Al Qods, a-t-il souligné, notant qu’Israël affiche une forte volonté visant à changer la situation actuelle à Al Qods en adoptant une politique dégradante vis-à-vis du peuple palestinien, en violation du droit international, ce qui conduira sans nul doute à une confrontation religieuse sans précédent dans la région.

L’organisation de cette réunion à Rabat est une illustration du soutien permanent du Maroc à la question palestinienne, sous la conduite éclairée de SM le Roi Mohammed VI, président du Comité Al-Qods, a-t-il dit, affirmant que le Souverain a toujours soutenu la cause palestinienne à travers plusieurs actions, notamment via l’Agence Bayt Mal Al Qods et rappelant la lettre royale adressé au Secrétaire Général de l’ONU au sujet des violations israéliennes contre Al Qods occupé.

Israël détruit toute lueur d’espoir permettant d’instaurer la paix au Moyen-Orient, a déploré M. El Malki, relevant que cette situation exige des peuples arabes de réagir et d’adopter une nouvelle politique qui répond aux enjeux stratégiques.

De son côté, le président de la Chambre des Conseillers, Hakim Benchamach, a souligné que la situation actuelle s’explique par le déchirement et le rétrécissement du système régional, ainsi que la division qui marque les relations entre les pays, notant que les Etats de la région subissent les conséquences des différends internes, des conflits interethniques, de l’extrémisme violent et du terrorisme.

Il a, ainsi, tiré la sonnette d’alarme sur le déclin de la solidarité internationale avec la question palestinienne, appelant à l’élaboration d’un plan de plaidoyer urgent et d’une pétition parlementaire destinée à l’Union Interparlementaire en vue de consolider la conscience internationale autour de la cause palestinienne, d’envoyer une délégation internationale pour s’informer sur la situation à Al Qods et d’adopter une résolution concernant le statut juridique de cette ville.

Fondée en 1974, l’UPA, qui regroupe les chambres parlementaires arabes, s’assigne pour objectifs le renforcement du dialogue et de la concertation entre les parlements arabes, la consolidation de l’action commune et la coordination des efforts parlementaires dans différents domaines.

La déclaration finale de la 24e Conférence de l’UPA, tenue en mars 2017 à Rabat, a souligné l’impératif de porter la cause palestinienne en tête des préoccupations de la Oumma et de soutenir le peuple palestinien dans sa lutte contre l’occupation israélienne.

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