Parlement européen: Le Maroc dénonce la partialité et la mauvaise foi de milieux hostiles

Immédiatement après l’adoption ce mercredi 18 janvier par le Parlement européen de deux amendements sur le « Rapport concernant la mise en œuvre de la politique étrangère et de sécurité commune 2022 »,une source du Ministère des Affaires étrangères, de la Coopération et des Marocains résidant à l’étranger a fait part des commentaires sur un certain nombre de points.

D’emblée, l’on peut dire que les amendements en question s’inspirent d’une volonté manifeste de nuire au Royaume encore une fois. Ils s’inscrivent dans la campagne agressive d’attaques et de « harcèlement » que les mêmes milieux nourrissent et qui expriment ni plus ni moins depuis quelques temps. Ils manifestent ainsi la plus vive et envieuse jalousie à l’égard du Maroc. Lequel avance désormais dans sa marche décomplexée, et renforce son leadership.

Les réactions multiples, croisées voire concertées des adversaires du Maroc dans cette nouvelle campagne de harcèlement, ne changeront nullement la volonté de notre pays d’aller de l’avant pour renforcer son leadership et déjouer tous les complots, d’où qu’ils viennent. Le Royaume du Maroc , à plusieurs reprises et à tous les niveaux des instances internationales, avait sans cesse alerté à propos de cette campagne d’hostilité acharnée qui le cible directement et individuellement, faisant comme l’on dit « feu de tout bois ». D’autant plus que parmi tous les pays arabes et africains, il est le seul à subir d’aussi ignobles et virulentes attaques. Moyennant quoi, cela nous prouve la partialité et le malhonnête parti pris contre le Maroc.

Ainsi, devrions-nous dénoncer de tels agissements qui, manifestement, nous révèlent comment les institutions dites démocratiques sont détournées de leur mission, déviées de leur éthique, violées pour ainsi dire par les comploteurs en tous genres. On s’étonne en effet de constater, à notre corps défendant, que les mêmes  qui, excités et versant dans la mauvaise foi, dénoncent les ingérences étrangères, soient aussi les premiers à s’immiscer dans les affaires internes et les lois judiciaires d’un Etat souverain.

En fait, « ceux qui se plaignent des ingérences sont les champions de l’ingérence » ! Ils se disent légalistes, mais en revanche font tout pour justifier leur posture sur un tissu d’allégations, relayées par des médias, tous obéissant à «  la voix de son maître », sans foi ni loi, précipités dans les conclusions hâtives et sans fondement juridique, alors même qu’une enquête judiciaire est en cours et qu’elle n’a pas encore rendu ses conclusions. Le Maroc dénonce de ce fait le « deux poids et deux mesures » des stipendiés d’un certain Parlement européen, érigé en chambre d’enregistrement de prétendus juges érigés en procureurs. Le Maroc dénonce les agissements fallacieux des « milieux hostiles, dûment identifiés à l’agenda bien connu », toujours les mêmes, mobilisés depuis quelques temps maintenant, qui s’efforcent plutôt mal que bien à s’attaquer à sa justice indépendante, pour défendre des individus déjà jugés et condamnés pour des faits de droit commun indiscutables, ni plus ni moins.

En l’occurrence, le cas du journaliste Omar Radi et aussi de la victime de son viol, Hafsa Boutahar, nous en dit long sur l’aveuglante partialité de ce Parlement européen, devenu le théâtre d’une effroyable imposture, qui s’érige en Panthéon de l’injustice. Les groupes politiques et les formations qui forment le corps de l’Assemblée de Strasbourg restent tout de même différents, diversifiées voire parfois opposées. Fort heureusement, certaines peuvent faire pièce à la démagogie et au populisme désenchantée des milieux hostiles à notre pays. Notre pays, fort de ses engagements démocratiques, en appelle à leur sagesse et à leur bon sens pour défendre sa loyauté et ses engagements.

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