Le Premier ministre malien se félicite de la « qualité » des relations et de « l’histoire commune » liant son pays et le Maroc

 Le Premier ministre malien, Soumyelou Boubeye Maïga, s’est félicité mercredi à Bamako, de la « qualité » des relations et de « l’histoire commune » liant son pays et le Maroc.

Dans une déclaration à la MAP, à l’occasion de la visite d’amitié et de travail qu’il entamera à partir de jeudi dans le Royaume, M. Maïga, a salué également les relations d’amitié, de fraternité et d’estime réciproque entre SM le Roi Mohammed VI et le Président Ibrahim Boubacar Keïta.

Il a souligné que son déplacement au Maroc est « très symbolique », « spécifique » et reflète la volonté de hisser le niveau de la coopération bilatérale à la hauteur des relations permanentes et de l’histoire commune liant les deux pays.

Après avoir mis en avant le caractère « historique » et « inaltérable » des liens existant entre les deux pays, le responsable malien a salué la  » très forte présence » des entreprises marocaines dans le paysage économique malien notamment dans les domaines des banques et de la téléphonie.

>>Lire aussi : la coopération maroco-malienne dans le domaine de la formation au menu d’une réunion à Bamako

Et d’ajouter qu’à la faveur des conventions signées en 2013, il y a aujourd’hui une fluidité des produits marocains en direction de Mali .

Par ailleurs, M. Maïga a relevé que le retour du Maroc à l’Union Africaine (UA) et sa demande d’adhésion à la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cédéao) sont de nature à « élargir le champ de l’éventail des opportunités » de coopération.

Le Maroc est devenu aussi, membre du conseil de paix et de sécurité de l’UA , et il est « impliqué ainsi dans tous les exercices quotidiens de l’organisation panafricaine en matière de diagnostic, d’analyse de démarche pour garantir plus de stabilité et de sécurité au niveau du continent « , a-t-il dit.

Evoquant les questions régionales et internationales, le Premier ministre malien a mis l’accent sur la nécessité de renforcer davantage la coopération et l’échange des expériences sur la base de convivialité et de la coexistence fraternelle entre les différentes communautés, et ce pour faire face aux menaces qui pèsent sur les fondements des sociétés et des Etats.

Articles similaires

Laisser un commentaire

Bouton retour en haut de la page