La « Prospective au Maroc et en Afrique » au centre d’une conférence au Musée Mohammed VI pour la civilisation de l’eau au Maroc-Aman

Le Musée Mohammed VI pour la civilisation de l’eau au Maroc, abritera, une Conférence le 12 Juillet 2017 de 14h30 à 20h00, co- organisée par Minbar et l’institut culturel Abnaouna, elle s’articulera autour de la « Prospective au Maroc et en Afrique » et en partenariat avec le Musée.

Cette première conférence présentera cinq intervenants, tous membres fondateurs de Minbar, dont le programme se présente comme suit :

– Civic Tech et Civic Media, une nouvelle forme d’engagement de la société civile en Afrique par Othmane Zrikem (30 ans) Lead Strategist chez Ekimetrics, intervenant à Sciences Po Paris sur les Civic Media et le Data Journalisme.

– La question urbanistique et de l’espace civique en Afrique, par Halima Mrabti (29 ans) responsable développement chez établissements publiques d’aménagement de Marne- LaVallée.

– Analyse sémantique de Maroc vu du web, par Samir Ghoudrani (30 ans) Senior Associate PWC. CIO Advisory & Data Science.

– Enjeux énergétiques au Maroc et en Afrique, cas du pipeline Nigeria Maroc, par Boubker Benseddiq (31 ans), Ingénieur Manager chez Solar Turbines spécialistes des pipelines et des projets d’infrastructures énergétiques.

– Dynamique démographique et économique au Maroc en ce début de 21ème siècle, par Taha Choukhmane (28 ans) doctorant d’économie à Yale, chercheur invité à Sciences Po Paris.

« Minbar est un Think Thank et espace de réflexion qui a pour but de promouvoir le dialogue et le développement des relations euro-africaines et afro-africaines. Les axes généraux abordés sont : économiques, culturels et politiques. Dans cette logique nous avons développé les Minbar Talks, l’idée étant de promouvoir un concept de prise de parole novateur, quelque peu similaire à un TEDx. Les Minbar Talks sont animés par des experts, avec pour objectifs d’élever l’intérêt de la société civile envers des sujets d’avenir via des débats constructifs et riches d’interactions. Les sujets traités s’articulent tous autour des axes généraux, et s’inscrivent dans une projection africaine.

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