Les suppôts du régime algérien à Bruxelles déstabilisés par les derniers développements de la question du Sahara

Par Adil Zaari jabiri

 Les dernières injonctions onusiennes intimées à l’Algérie et au polisario et la constance de la position européenne sur la question du Sahara et sur le partenariat exemplaire avec le Maroc ont déstabilisé les suppôts et thuriféraires du régime algérien à Bruxelles.

Visiblement dans un état de frénésie hystérique quand il s’agit de s’en prendre au Maroc, une activité qui prédomine dans son travail de diplomate et par ailleurs un sport national chez ses compatriotes, l’ambassadeur algérien à Bruxelles, qui ne se lasse pas de montrer patte blanche à sa hiérarchie pour obtenir une promotion, multiple les sorties médiatiques, s’agite à coups de déclarations à l’emporte-pièce et autres gesticulations hostiles au Maroc et à ses institutions.

Nouveau signe de sa furie, ses sempiternels commentaires au sujet de l’arrêt de la Cour de justice européenne sur l’accord agricole Maroc-UE, mais surtout sa réaction aux déclarations de l’ambassadeur du Royaume à New York suite à l’adoption de la résolution 2351 concernant la question du Sahara marocain. De quoi je me mêle ? Alors qu’il venait de déclarer il y a quelques jours au « très algérien » site français Afrique-Asie que son pays «n’a rien à voir dans cette affaire».

Sidéré par le contenu de la dernière résolution du conseil de sécurité de l’ONU, qui a mis son pays devant ses responsabilités historiques dans le blocage que connait la question du Sahara, M. Belani ameute les obligés d’Alger à Bruxelles pour tenter de déstabiliser le Maroc en entretenant «la flamme médiatique» autour de sujets dans lesquels le Maroc, de l’avis même d’ONGs indépendantes, a réalisé un pas de géant, notamment la liberté d’expression, les droits de l’homme et des migrants, la démocratie, la répartition équitable des ressources et dans lesquels l’Algérie, comme l’attestent ces mêmes ONGs, n’a pas bougé d’un iota.

Obnubilé par une promotion promise mais qui tarde à venir, M. Belani ne se rend pas compte de l’état de déliquescence que connait son pays où tous les indicateurs virent au rouge : chômage, corruption, violations des droits de l’homme et de la liberté d’expression, déconfiture de l’État, crise économique et absence de perspectives pour les jeunes. Même les législatives n’ont pas réussi à briser l’atonie dans laquelle ce pays aux abois a été plongé au point que l’électeur ne se sent même pas concerné.

L’ambassadeur algérien et consorts doivent se rendre à l’évidence que le pays qu’il est censé représenter à Bruxelles est dans une situation peu enviable et persiste malgré tout à entretenir cette grosse imposture algérienne appelée le polisario.

L’Algérie ne peut plus se dérober aujourd’hui de sa responsabilité clairement mentionnée dans les résolutions onusiennes et dans la littérature politique européenne et internationale. Responsabilité dans la création de ce conflit hérité de la guerre froide, dans le financement et l’armement du polisario, dans les manœuvres ourdies ici et là pour bloquer toute solution politique comme le souhaite la communauté internationale, dans le détournement de l’aide humanitaire destinée aux séquestrés dans les camps de Tindouf, dans le refus de recenser les populations de ces camps…

Son acharnement à défendre la création d’un État chimérique sans territoire, ni peuple, conçu dans sa propre imagination, renseigne sur l’état d’esprit de ses dirigeants, leur complexe viscéral vis-à-vis du Maroc et leur incapacité d’imaginer un avenir sans se mettre en opposition par rapport au Royaume.

Quant au Sahara marocain paisible et prospère, il restera marocain dans la continuité de l’histoire et la pérennité de l’État, fort de ses institutions démocratiques et confiant en son avenir, dans un élan de développement intégré et inclusif qui profite à tous les fils de la Nation de Tanger à Lagouira sous le leadership de SM le Roi Mohammed VI.

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