Les eurodéputés inféodés à l’Algérie essuient une nouvelle raclée au Parlement européen
Le Parlement européen vient de flanquer une sacrée raclée au quarteron anti-marocain constitué d’un groupuscule d’eurodéputés nostalgiques de l’ère communiste servant le sinistre agenda de l’Algérie par polisario interposé.
Lors d’une réunion, lundi soir, la commission des Affaires étrangères a rejeté deux amendements introduits sous la houlette de la VRP en chef de l’Algérie au Parlement européen, Paloma López Bermejo, au rapport annuel 2015 sur les droits de l’homme et la démocratie dans le monde et la politique de l’Union européenne en la matière.
Ces amendements relayaient notamment les mensonges tressés par l’Algérie et le polisario sur de prétendues violations des droits de l’homme dans les provinces du sud et ressassaient la défunte autodétermination par voie de référendum, une page que l’ONU et la communauté internationale ont tournée depuis longtemps au regard de l’évolution que connaît la question du Sahara marocain à la faveur de la dynamique de développement impulsée dans la région grâce aux multiples initiatives conduites par SM le Roi Mohammed VI, à l’élan démocratique insufflé aux provinces du sud, qui, à juste titre, ont connu un taux de participation qui a dépassé 76 % lors des dernières élections législatives du 7 octobre.
Ce taux illustre, on ne peut plus clairement, tout l’intérêt porté par les habitants des provinces du sud au processus électoral et leur détermination constante à contribuer à l’œuvre d’édification démocratique dans le Royaume. Il atteste également de leur adhésion à la dynamique vertueuse enclenchée grâce aux efforts de développement initiés par le Souverain qui placent l’homme au centre des politiques publiques initiées notamment dans les provinces du sud.
Ce constat a d’ailleurs été corroboré par les observateurs internationaux qui ont suivi de près le processus électoral au Maroc, notamment la délégation de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe (APCE).
Evoquer dans ce contexte une quelconque allégation sur les droits de l’homme, la liberté d’expression ou encore la participation politique dans cette région relève de la supercherie, d’autant que l’Union européenne a, à maintes reprises, salué les efforts du Maroc en matière de consolidation des droits de l’homme et de consécration des principes des libertés individuelles et collectives actées dans la Constitution de 2011.
Inutile de rappeler que le Conseil d’Association Maroc-UE, tenu le 14 décembre dernier à Bruxelles, s’était félicité des efforts déployés par le Royaume en la matière, saluant la poursuite du processus de réforme démocratique et la mise en œuvre de la Constitution.
La haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité, Federica Mogherini, a, à son tour, salué à plusieurs occasions l’engagement du Maroc en matière de Droits de l’Homme, de la consolidation de la démocratie, de l’Etat de droit et de la réforme de la justice.
Elle s’est montrée particulièrement admirative des efforts déployés par le Conseil national des Droits de l’Homme et ses délégations régionales notamment dans les provinces du sud, en réitérant à chaque fois le soutien de l’UE et sa volonté de renforcer le partenariat avec le Royaume dans divers domaines.
Le niet opposé par la Commission des Affaires étrangères du Parlement européen aux vaines tentatives de ces eurodéputés qui émargent auprès des officines douteuses du polisario et de l’Algérie est venu rappeler que la question du Sahara ne peut faire l’objet de marchandage ou servir à justifier les jetons de présence de ces eurodéputés.
Le rejet de ces amendements traduit également la doctrine de l’Union européenne quant à une solution politique, juste, durable et mutuellement acceptable comme le souhaite la communauté internationale qui juge crédible, sérieuse et réaliste la proposition du Maroc d’octroyer une autonomie élargie au Sahara dans le cadre de la souveraineté marocaine. A ses yeux, il s’agit de la seule solution à ce conflit monté de toutes pièces par l’Algérie et qui entrave l’intégration économique et sécuritaire du Maghreb et hypothèque l’avenir des populations de la région.
Ce nouveau camouflet s’ajoute à une série de déconvenues encaissées par l’Algérie et son pendant polisarien dans les différents fora internationaux. Il traduit la justesse de la cause marocaine et fait échec aux manœuvres ourdies contre l’intégrité territoriale du Royaume, sa stabilité et son processus de développement intégré qui couvre l’ensemble de ses territoires du nord au sud.