Dans son dernier rapport, AI franchit un nouveau cap et avance d’un pas résolu vers un niveau inédit d’inconsistance
Dans son rapport du 22 juin dernier, l’organisation Amnesty international (AI) franchit un nouveau cap et avance d’un pas résolu vers un niveau inédit d’inconsistance, un niveau sans précédent dans les annales des droits de l’Homme, écrit le site d’information « Quid.ma ».
Dans un tribune signée Larbi Annir, le portail électronique relève que les rapports d’Amnesty International, notamment ceux concernant le Maroc, sont devenus des contre-exemples d’école, qui démontrent, texte à l’appui, jusqu’où peut aller une ONG prétendument indépendante, lorsqu’elle est aveuglée par des préjugés, guidée par des intérêts mercantiles, minée par des conflits d’intérêt et détournée de ses idéaux initiaux.
Dans son dernier rapport, Amnesty a défié toute logique, en recourant à une série de contre-vérités, de généralisations, de spéculations, d’approximations, de raccourcis, de mensonges, constituant ainsi un ramassis d’arguments fallacieux, digne d’être enseigné dans les cours de rhétorique comme un exemple typique de sophisme, fait observer l’auteur de l’article, notant qu’il est inutile de s’attarder sur les tares qui sont en passe de devenir « les » caractéristiques constantes des travaux d’Amnesty.
Le site d’information cite, à cet égard, le non-respect des exigences méthodologiques minimales requises en matière du reporting sur la situation des droits de l’Homme, pauvreté sur le plan factuel, manque flagrant de consistance et de crédibilité, rappelant qu’il suffit au lecteur avisé, de consulter « l’entrée (Maroc) » dans le résumé exécutif du rapport établi, en 2019, par cet oligopole des commerçants des droits de l’Homme, pour constater ces déplorables écarts.
Dans son rapport, Amnesty, dans un langage d’approximation et digne de colportage, s’autoréférence avec une légèreté déconcertante, souligne l’auteur de l’article, soutenant que le passage fallacieux du probable au certain, s’effectue chez Amnesty, d’une manière qui défie toutes les exigences méthodologiques connues en matière du reporting sur la situation des droits de l’Homme.
D’une simple probabilité, Amnesty formule une hypothèse, fait remarquer le portail électronique, expliquant que pour voiler la fausseté scandaleuse de son raisonnement plein de failles, de spéculations, de mensonges, et des extrapolations sans fondement, l’ONG fait recours aux préjugés et aux stéréotypes négatifs habituels à l’égard du Maroc. Le rapport est jonché des jugements de valeur, poursuit l’auteur de l’article, notant que les lecteurs avisés et les spécialistes du reporting en matière des droits de l’Homme ne manqueront pas de constater que le raisonnement fallacieux adopté par Amnesty, dans son rapport, vise seulement à masquer un fait accablant et déplorable, à savoir l’absence de toute preuve, voire même de tout indice ou début de preuve. L’analyse critique de la stratégie d’argumentation fallacieuse adoptée par Amnesty, telle qu’elle ressort de son rapport, se trouve confirmée par le fait que les autorités marocaines, confiantes et transparentes dans leur démarche, ont défié publiquement et ouvertement Amnesty en lui exigeant d’apporter tout élément de preuve pour étayer ses allégations, poursuit-il, précisant qu’Amnesty n’a pas apporté à ce jour aucun élément nouveau qui ne figure pas dans son rapport.
Le portail électronique souligne en outre que le Maroc est un Etat de droit démocratique, sa Constitution garantit le secret des communications privées et protège la vie privée, expliquant que ce fait est une réalité quotidienne vécue et que ne peuvent occulter cette réalité, les clichés méprisants, à relent néocolonial, véhiculés par Amnesty et certaines ONG, incapables de reconnaître, pour des raisons diverses, les avancées démocratiques d’un pays africain et arabe en voie de développement, guidé par une monarchie constitutionnelle, démocratique, parlementaire, sociale et protectrice des libertés et des droits fondamentaux.
Amnesty a failli, encore une fois, aux exigences méthodologiques les plus élémentaires de recoupement d’informations relatives aux allégations d’atteinte aux droits de l’Homme, insiste l’auteur de l’article, faisant valoir que ce constat est devenu habituel, ce qui mérite cette fois un « complément d’analyse », dont seuls les économistes et les spécialistes de la cyber-sécurité peuvent effectuer, afin d’y apporter leur éclairage nécessaire, ce sont les zones d’ombres et les ressorts mercantiles, qui peuvent expliquer, en partie, les agissements d’Amnesty.