Deux eurodéputées d’origine algérienne à l’origine de la résolution du Parlement européen
La résolution du Parlement européen sur le Maroc qui a causé une véritable détonation diplomatique serait l’œuvre de deux eurodéputées d’origine algérienne : Karima Delli et Yamina Yenbou, identifiées comme les pires ennemies du Maroc car étant à la manœuvre de toutes décisions ou politique contre le Maroc à Bruxelles.
Karima Delli et Yamina Yenbou sont des eurodéputés français présents à Bruxelles, mais servent les intérêts algériens au Parlement européen. Ces deux franco algériennes restent à la manœuvre des décisions concernant le Maroc, « rédigeant au passage des résolutions présentées par des élus de l’Europe de l’Est ou de l’Europe du Nord afin de dissimuler l’origine de la résolution (La Taqqia Politique) », note la source à Maroc diplomatique, qui rappelle qu’elles ont déjà conduits des résolutions et des propositions contre le Maroc sur l’accord de pêche, le Sahara marocain, les mineurs marocains en Espagne et la liste est longue ».
Le 9 juillet 2021, Salima Yenbou et Karima Delli – Groupe Les Verts/ALE ont porté la Proposition de résolution commune portant référence RC-B9-0349/2021 sur la violation de la convention des Nations unies relative aux droits de l’enfant et l’instrumentalisation des mineurs par les autorités marocaines dans la crise migratoire à Ceuta.
Selon la source, Yamina Yenbou et Karima Delli du parti des verts, arrivent avec l’extrême contentieux de l’Algérie avec la France que devenir français ne pourrait jamais réparer, « ne servent pas l’Algérie au détriment de la France, pire elles utilisent leur statut d’élues françaises et l’argent public de l’impôt des français pour taper sur le Maroc au profit de l’Algérie et du régime des militaires. »
De l’autre côté, les élus français et européens d’origine marocaine sont dans cette démarche de noblesse et d’élégance politique à l’image de leur histoire et culture, note interlocuteur.
Toutefois, Yamina Yenbou et Karima Delli étaient où lors du Hirak, que disent-ils sur la mise en faillite de grands organes de presse algériens non favorable à la junte militaire et de l’exclusion des personnalités et d’une partie des Kabyles et des Touaregs, surtout dont personne ne parle en Algérie.
Concernant le Parlement européen, pourquoi n’a-t-il pas déposé une résolution pour constater la fermeture de l’espace aérien algérien face au Maroc ? Décision unilatérale qui entrave le commerce international, la liberté de voyager, qui rallonge les trajets et impute la sécurité. Voilà une résolution que je propose aux deux élues françaises qui connaissent bien notre région, questionne la source.
On se rappelle, d’une charge inouïe qu’elle avait faite contre le Maroc et par ricochet le Qatar au lendemain de l’éclatement du scandale de corruption au Parlement européen.
Sans gants, Karima Delli s’est prise au Maroc, déversant toute une haine et d’accusations gratuites qui dévoilent sa véritable identité algérienne. Pendant ce temps la persécution du régime algérien contre le mouvement de protestation Hirak, qui lutte contre la corruption devenue mode de gouvernance des autorités algériennes, est passée sous silence.
Continuant ses diatribes, elle a même déclaré que « le Maroc et le Qatar seront mis hors d’état de nuire et la justice s’y emploie. »
Pendant ce temps, le Parlement européen où elle se tenait, ne parvient pas interrompre la corruption devenue endémique avec pour l’instant 60 eurodéputés qui seraient sur la sellette.
