Bruit de bottes algériennes au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Bruit de botte en Algérie au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Bruit de botte en Algérie au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Bruit de botte en Algérie au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Bruit de botte en Algérie au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Bruit de botte en Algérie au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Bruit de botte en Algérie au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Bruit de botte en Algérie au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).
Bruit de botte en Algérie au moment où l’establishment militaire se déchire
Le climat entre l’Algérie et le Maroc se dégrade de plus en plus. En toile de fond, le différend sur le Sahara qui couve depuis des années. Mais le rapprochement du Maroc avec Israël y jouerait un grand rôle. Pendant ce temps, l’Algérie a envoyé tout son haut commandement militaire en France, où selon les médias algériens, il aurait demandé aux français de lui fournir une technologie semblable à celle des « satellites espions marocains ». Aux dernières nouvelles le régime algérien passerait à la vitesse supérieure et aurait tenu une importante réunion réunissant l’ensemble des hauts dignitaires de l’armée du pays.
Rapporté par le journal « Maghreb Intelligence », le régime algérien a officiellement tenu son « Premier Conseil de guerre » le 30 janvier 2023, rassemblant tous les chefs les plus importants de l’armée du pays.
Contrairement à ce qu’affirment la présidence algérienne et d’autres médias algériens, la même source indique que la réunion présidée par le président algérien Abdelmadjid Tebboune n’est pas une simple réunion du Conseil supérieur de sécurité, l’organe de sécurité le plus stratégique du pays.
En août 2021, l’Algérie a rompu ses relations diplomatiques avec le Maroc. Cette décision d’Alger a été le point culminant après les tensions qui remontent à de nombreuses années. Le différend reste la question du Sahara où l’Algérie s’y immisce en instrumentalisant le Polisario pour faire face au Maroc.
Le leadership de la région reste aussi un autre enjeu de la crise entre le Maroc et l’Algérie. Fondamentalement, il s’agit de domination dans la région et d’un conflit territorial non résolu de l’époque coloniale qui a conduit à la guerre frontalière de 1963 entre le Maroc et l’Algérie. Les tensions sont encore palpables aujourd’hui.
En novembre 2022, l’Algérie a accusé le Maroc de l’attaque qui a tué trois camionneurs algériens. Par contre le Maroc n’a pas répondu aux accusations de l’Algérie.
Pour la première fois depuis des décennies, la peur d’un conflit militaire s’est répandue. Bien qu’improbable, cet incident tragique et d’autres ont exacerbé les tensions dans une région déjà instable. De cette tension permanente, le Polisario en rajoute et déclare lors de leur congrès tenu à Tindouf, qu’il allait s’attaquer au Maroc.
Jusqu’à présent, les conséquences de la nouvelle détérioration des relations entre les deux pays se sont essentiellement limitées au blocage de l’espace aérien algérien aux avions marocains et au refus de l’Algérie de prolonger le contrat du gazoduc Maghreb-Europe.
Conseil de guerre pour quel mobile ?
Selon les sources algériennes mises en lumière par Maghreb Intelligence, ce premier Conseil de guerre a été organisé pour étudier officiellement le scénario d’un affrontement direct avec le Maroc.
Les rapports militaires remis à Tebboune accusent le Maroc d’avoir récemment lancé des opérations militaires au-delà du mur de défense érigé par les forces marocaines. L’armée algérienne comprend que le Maroc a dangereusement multiplié les opérations d’intervention dans les zones appelées par l’Algérie « terres libérées par le Polisario », et ces interventions armées sont dangereusement proches, insistent ces rapports militaires algériens, des frontières algériennes.
Les commandants de l’armée algérienne ont estimé le risque d’agression marocaine très élevé et estiment que le Maroc veut entraîner l’Algérie dans un conflit ouvert en multipliant les provocations dans les zones frontalières éloignées du fameux mur de sable.
Par ailleurs, les militaires algériens s’inquiètent officiellement d’un prétendu déploiement très discret des forces paramilitaires israéliennes aux frontières algéro-marocaines. Le régime algérien, souligne la même source, soupçonne officiellement le Maroc de lancer des bases logistiques israéliennes sur son territoire pour menacer directement des objectifs militaires algériens. Ces graves accusations furent discutées et commentées lors de ce Conseil de guerre public tenu à Alger. « Une démarche sans précédent de l’Algérie qui fait croire à sa population que le risque d’une guerre avec le Maroc s’accroît », conclut Maghreb Intelligence.
L’establishment militaire algérien se déchire
Au moment où l’establishment algérien se braque contre le Maroc, les appareils sécuritaires les plus névralgiques du système algérien creusent leur division à cause d’une véritable guerre fratricide dans le sillage d’une véritable crise de leadership, relève la source.
Selon Magreb Intelligent, cette guerre des tranchées est en train de miner de l’intérieur le fonctionnement des services secrets algériens. Privés depuis 2019 d’un véritable patron et de coordinateur capable de « tenir la baraque », les services de renseignements algériens sont plongés depuis plusieurs dans une lutte de clans qui oppose le renseignement intérieur, à savoir la Direction générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), au renseignement extérieur, à savoir la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE).