5ème colloque des frontières arabo-américaines de la science, l’ingénierie et la médecine, du 2 au 4 novembre à Rabat
L’École nationale supérieure d’informatique et d’analyse des systèmes (ENSIAS), relevant de l’université Mohammed V de Rabat, abrite du 2 au 4 novembre, le 5-ème colloque des frontières arabo-américaines de la science, l’ingénierie et la médecine.
Organisé sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, cette manifestation, qui s’inscrit dans le cadre de la célébration du 25-ème anniversaire de la création de l’ENSIAS, sera l’occasion de discuter des thématiques relatives à la médecine, les nouveautés dans le domaine de la cancérologie, les énergies renouvelables, l’agriculture intelligente, l’eau, l’hygiène et l’assainissement, a indiqué un communiqué de l’université Mohammed V.
Cette rencontre vise à faciliter la communication et la coopération dans le domaine de la recherche entre les experts, chercheurs et professionnels arabes et américains, favoriser l’échange des idées autour des progrès réalisés dans les domaines précités et renforcer l’échange scientifique et le dialogue entre les chercheurs, affirme le communiqué.
Depuis sa première édition, cette manifestation a pris en compte le principe de la parité, en exigeant un quota de 30% de femmes chercheuses lors des trois éditions précédentes, souligne la même source, notant que cette mesure augmentera d’une façon remarquable le nombre participants parmi la gent féminine dans la 5ème édition, qui se tiendra au Maroc.
En effet, ce colloque sort pour la première fois de son cadre géographique dans la péninsule arabique, après 4 éditions tenues, respectivement, au Koweït, Sultanat d’Oman, Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis.
Cet événement est organisé en partenariat avec les Académies nationales des sciences de l’ingénierie et de la médecine aux États-Unis, l’Administration nationale de l’aéronautique et de l’espace (NASA), l’Académie nationale des sciences aux États-Unis, l’Agence américaine pour le développement international (USAID), l’Université Mohammed VI polytechnique et l’Office chérifien des phosphates (OCP).