L’ANME soutient Driss Chahtane face aux calomnies d’Ali Lmrabet

L’Association nationale des médias et des éditeurs (ANME) a exprimé sa solidarité avec Driss Chahtane, son président et directeur de la publication de Chouf TV, victime d’une campagne de calomnie menée par Ali Lmrabet, un blogueur pro-Algérie et pro-Polisario.

Dans un communiqué publié mercredi, l’ANME a dénoncé les mensonges et les absurdités d’Ali Lmrabet, qui a diffusé sur le compte X des rumeurs et des fausses informations sur Driss Chahtane, qu’il accuse d’être impliqué dans une affaire de trafic de drogue et d’être un agent des services secrets marocains.
L’ANME a souligné que cette personne, rejetée par tous, se distingue par sa capacité à produire des rumeurs de bas étage et à aller à contre-courant de la réalité, pour se faire remarquer. L’ANME a mis en doute les sources dont il prétend tirer ses informations « fiables et documentées », qui sont exemptes de véracité, et a estimé qu’il s’agit d’un jeu qui peut tromper certains de ses lecteurs crédules, mais pas ceux qui le connaissent bien et qui sont au courant de son parcours, de ses secrets, de ses liens et de ses relations complexes contre le Maroc et les Marocains.

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L’ANME a ajouté que dans ses derniers articles de blog, basés sur des sources « ébranlées » par les jeux nocturnes bon marché, Ali Lmrabet a affirmé que Driss Chahtane a été convoqué par la police marocaine pour être interrogé dans le cadre de ce qu’il a appelé l’affaire « Pablo Escobar du Désert », faisant allusion à des soupçons selon lesquels l’achat du siège principal du site et de la chaîne a été financé par l’argent de la drogue. L’ANME a précisé que cette personne a insisté pour mentionner Chahtane non seulement comme journaliste et directeur de publication, mais aussi comme président de l’ANME, dans une démarche ignoble visant à impliquer l’ensemble de la presse marocaine. Il a également déclaré avec malveillance que l’intéressé est un sujet des renseignements marocains, dans une lettre qu’il a adressée à ses amis en Algérie et au Polisario, dans le but de les poursuivre. Il a accusé la presse marocaine d’écrire depuis « l’encrier » de l’appareil.

L’ANME a condamné cette odieuse attaque contre son président, qui représente la majorité du paysage médiatique et journalistique au Maroc, et a confirmé une fois de plus la forte implication du dénommé Ali Lmrabet dans un complot visant à servir les intérêts des renseignements algériens et de sa création, le Polisario, ce qui fait de lui un traître à la patrie et un élément de la cinquième colonne anti-marocaine. L’ANME a été alertée de la propagation de fausses nouvelles provenant de vedettes de cabaret, ce qui témoigne de la grande décadence et de la détérioration du parcours de cette prétendue « personnalité médiatique », et a souligné que le président n’a été convoqué par aucune agence de sécurité, et que les preuves sont du côté des calomniés.

L’ANME a constaté l’acharnement d’Ali Lmrabet à impliquer les institutions de l’État et ses agences souveraines dans toutes les affaires portées devant la justice, pour envoyer un message à ses maîtres en Algérie qu’il travaille selon le plan de sabotage élaboré à l’avance pour lui, et a dénoncé son ingérence publique dans l’ANME, ce qui signifie que le problème (s’il y en a un), n’est plus entre Ali Lmrabet et Chahtane, mais à partir d’aujourd’hui, c’est entre Ali Lmrabet et l’ANME.

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