(Vidéo) Thierry Mariani dénonce les manœuvres anti-marocaines de l’extrême gauche et de l’Algérie

L’ombre de l’extrême gauche européenne, en complicité manifeste avec l’Algérie, plane de nouveau sur le Parlement européen, révélant des alliances visant à fragiliser un partenaire clé de l’Union européenne : le Maroc. L’invitation de représentants du Polisario au sein du Monitoring Group Maghreb de la Commission du Commerce International a suscité une levée de boucliers, notamment de la part de l’eurodéputé français Thierry Mariani (Rassemblement National), qui a vigoureusement dénoncé cette démarche.

Dans une déclaration incisive, Thierry Mariani a souligné les multiples zones d’ombre entourant le Front Polisario, qualifié de « milice soutenue par l’Algérie » avec pour but avoué de « déstabiliser le Maroc ». Il a rappelé les actes de violence perpétrés à Smara en 2023, les liens avec des mouvements islamistes radicaux, ainsi que le détournement systématique de l’aide humanitaire destinée aux camps de Tindouf.

« L’article 10 de notre règlement intérieur exige que les députés préservent la dignité du Parlement et protègent sa réputation. Je souhaite dénoncer l’invitation des représentants du Front Polisario, qui porte atteinte à la crédibilité de cette institution et à nos relations avec le Maroc », a déclaré Mariani, insistant sur l’importance de préserver les partenariats stratégiques avec le Royaume.

L’eurodéputé a rappelé que, dès 2018, le Parlement européen avait mis en garde contre les répercussions négatives liées à la non-application des préférences tarifaires au Sahara marocain. Selon lui, cette invitation constitue une atteinte directe à la souveraineté du Maroc et compromet les efforts de coopération régionale entre l’Union européenne et ses partenaires méditerranéens.

L’invitation du Front Polisario s’inscrit dans un climat où plusieurs groupes politiques du Parlement européen, notamment Les Verts et l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates, multiplient les attaques contre le Maroc. Thierry Mariani a dénoncé cette instrumentalisation idéologique. Lconnexion entre l’Algérie et l’extrême gauche européenne est un cocktail explosif qui mine le Parlement européen.

Cette stratégie concertée s’est récemment manifestée dans le rapport adopté par la commission INGE2, portant sur l’ingérence étrangère dans les processus démocratiques de l’Union européenne. Si le texte initial s’intéressait principalement à la Russie et à la Chine, des amendements ajoutés par certains groupes politiques ciblent directement le Maroc, le citant pas moins de seize fois et préconisant des sanctions injustifiées.

Ces attaques répétées contre le Maroc ne sont pas sans conséquence. Elles risquent de fragiliser les relations stratégiques entre le Royaume et l’Union européenne, notamment dans les domaines économique, sécuritaire et migratoire. En qualifiant le Maroc de « partenaire essentiel », Thierry Mariani a rappelé l’importance de préserver un dialogue constructif avec Rabat.

Cependant, ces manœuvres orchestrées par une frange de l’extrême gauche européenne, avec le soutien actif de l’Algérie, soulèvent des interrogations sur l’intégrité des processus décisionnels au sein du Parlement européen. En invitant une milice déstabilisatrice, le Parlement européen bafoue les principes mêmes de son institution et mettons en péril sa crédibilité sur la scène internationale.

 

 

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