Déstabiliser le Maroc ? Ils rêvent, il avance…
CE QUE JE PENSE

Il est une espèce méprisable, tapie dans l’ombre, qui ne vit que de fiel et de rancœur. Un ramassis de parias, incapables d’exister autrement qu’en crachant sur leur propre patrie, jouant les mercenaires d’une guerre qui n’est pas la leur. Ils ont fui le pays pour nourrir leur rancœur personnelle, leurs frustrations et leur échec à s’insérer dans une nation qui avance sans eux. Ces êtres sans racines, dépossédés de toute dignité, errent dans les couloirs obscurs d’officines étrangères où la haine du Maroc est une monnaie d’échange.
Ces individus, sans patrie ni honneur, s’acharnent désormais à distiller de fausses rumeurs, jouant sur l’émotion, la peur et la désinformation. Leur dernière obsession ? Fabriquer l’illusion d’un Maroc fragile et en danger, inventer des scénarios dignes des plus mauvais romans d’espionnage, tenter d’ébranler ce qui ne vacille pas. Dans leur délire pathétique, ils vont jusqu’à spéculer sur la santé du Roi, croyant semer le doute dans un peuple uni, derrière un Souverain dont la légitimité n’a jamais été aussi éclatante. Mais ils se trompent d’époque, de cible et de réalité.
Car que cherchent-ils, sinon à exister, à combler leur vide abyssal en vendant leur âme à ceux qui rêvent d’un Maroc à genoux ? En cela, ils obéissent aux injonctions d’intérêts étrangers, d’États hostiles, de réseaux aux relents nauséabonds qui rêvent d’un Maroc affaibli. Mais qu’ils sachent une chose : le Maroc n’a jamais été aussi debout, aussi puissant, aussi souverain. Pendant qu’ils s’agitent dans le caniveau du sensationnalisme, le Royaume avance, construit, se renforce. Pendant qu’ils déblatèrent leurs mensonges sur YouTube ou TikTok pour quelques sous de monétisation, le Maroc se hisse en locomotive continentale, fort de ses institutions, de sa vision, et de la confiance indéfectible d’un peuple qui sait.
Leur acharnement ne laisse aucun doute : ils exécutent un agenda précis, celui de ceux que le Maroc dérange. Un Maroc fort, stable, et stratégiquement positionné dans le monde actuel dérange. Un Roi visionnaire, architecte du progrès et du rayonnement africain, dérange. Une Nation unie autour de ses institutions dérange. Voilà pourquoi ils sont envoyés en mission, voilà pourquoi ils s’agitent, voilà pourquoi ils s’épuisent à noircir une réalité qui leur échappe. Le plus risible dans cette mascarade, c’est l’indigence intellectuelle de ces énergumènes. Incapables d’analyser, de critiquer avec hauteur, de proposer un débat digne de ce nom, ils s’accrochent à des théories grotesques, convoquent astrologues et diseurs de bonne aventure pour tenter de donner corps à leurs fantasmes. Ils ne débattent pas, ils monnayent le néant. Ils ne défendent rien, ils s’achètent une audience. Ils ne questionnent pas, ils spéculent.
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La politique ? Trop complexe pour eux. L’analyse ? Un terrain trop périlleux. Dans ce bad buzz, ils préfèrent le sensationnalisme à bon marché, les vidéos racoleuses, les théories du complot calibrées pour le clic et le buzz. Ils ne sont ni analystes ni opposants, mais de simples vendeurs d’illusions, troquant leur dignité contre quelques miettes publicitaires. Un commerce minable où la haine du Maroc s’échange contre des sous.
Et puisque l’infamie n’a pas de limites, voilà que l’un d’eux, déjà englouti dans son propre opportunisme, plonge encore plus bas. La sorcellerie ! L’ultime refuge de ceux qui n’ont plus rien à dire, plus rien à offrir, si ce n’est leur propre décrépitude intellectuelle. À force de fuir le réel, ils se réfugient dans l’irrationnel, croyant donner du poids à leur vacarme en invoquant le surnaturel. Un naufrage pathétique. À croire que le ridicule ne tue plus… Là où un débat idéologique aurait pu avoir un semblant d’intérêt, ces énergumènes préfèrent sombrer dans le grotesque, rendant leur discours encore plus absurde et décrédibilisé.
Mais il y a un détail qui ne trompe pas : leur agitation n’a rien de spontané. Comme par hasard, tous s’emballent au même moment, répandant leurs inepties avec une synchronisation troublante que le Maroc serait en danger. Tout semble réglé au millimètre, orchestré dans l’ombre par des commanditaires invisibles, bien loin des préoccupations du peuple marocain. Un scénario écrit ailleurs, un plan exécuté servilement par des marionnettes en quête d’existence.
Une farce qui ne trompe personne
Il fallait oser. Voilà que les marchands de chaos, en mal d’inspiration, s’accrochent désormais aux délires d’une voyante pour annoncer un soi-disant coup d’État au Maroc. Exit l’analyse politique, exit la réflexion stratégique, place aux prophéties fumeuses d’une diseuse de bonne aventure ! Leurs « sources » ne sont plus ni les faits, ni la raison, mais les divagations d’une astrologue en quête de sensationnalisme.
Leila Abdellatif, habituée des prédictions tapageuses et des scénarios catastrophistes, a livré son lot de visions apocalyptiques on ne sait pour quel agenda. Aussitôt, ces balivernes ont été récupérées par les détracteurs du Royaume, avides de matière à scandale. Voilà où en est leur prétendue « expertise » : un recyclage de superstitions pour donner une illusion de crédibilité à leur entreprise de désinformation, des élucubrations mystiques montées en épingle pour créer un climat de panique artificiel. Ils ne débattent plus, ils invoquent les astres.
Et que dire de cette soudaine effervescence, de cette étonnante synchronicité ? Comme par enchantement, ces attaques surgissent en même temps, portées par des voix différentes mais unifiées dans une même partition. Une manœuvre bien huilée, où chacun joue sa partition, suivant un scénario écrit ailleurs. Qui finance ? Qui orchestre ? La réponse est aussi limpide qu’évidente. Mais ces mercenaires du chaos sous-estiment un élément essentiel : la résilience du Maroc. Un pays sûr de sa trajectoire, une nation forte de son unité. Ils peuvent bien s’agiter dans les couloirs sombres de la manipulation, la réalité les rattrape : leur mascarade n’amuse plus, elle ne fait que souligner leur propre insignifiance.
Un effet boomerang qui renforce l’unité nationale
Ils pensent semer le doute, ils ne font que renforcer l’évidence. Chaque attaque contre le Maroc et son Roi, chaque insulte lancée avec l’espoir d’ébranler notre nation, n’a d’autre effet que de souder davantage le peuple autour de son Souverain. Leur venin se retourne contre eux, leurs mensonges s’effondrent sous la force d’une loyauté inébranlable. À chaque rumeur nauséabonde, c’est un sursaut d’attachement qui surgit. À chaque manipulation, c’est une vague d’unité qui se lève.
Loin d’affaiblir le Royaume, ces tentatives dérisoires mettent en lumière une vérité que certains feignent d’ignorer : le lien indissoluble qui unit le Roi Mohammed VI à son peuple. Un lien forgé dans l’Histoire, consolidé par les réformes, ancré dans la confiance. Pendant qu’ils s’égarent dans des complots imaginaires, les Marocains, eux, voient la réalité en face : un pays qui avance, un Roi qui incarne la stabilité et une souveraineté qui ne vacille pas. À travers ces calomnies grotesques, les Marocains prennent davantage conscience de la force du lien qui les unit à leur Souverain, de l’importance de la stabilité et du leadership de Mohammed VI, et de la nécessité de rester vigilants face aux ennemis de la nation. Ce qu’ils perçoivent comme un outil de déstabilisation se transforme, malgré eux, en baromètre du lien sacré qui unit Sa Majesté le Roi Mohammed VI à son peuple.
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Car si révolution il y a, elle ne se trame pas dans l’ombre des conspirations mais se déploie au grand jour, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Une révolution de développement, de modernisation, d’ouverture. Une dynamique qui s’inscrit dans le réel, bien loin des gesticulations de ceux qui, faute d’exister par leurs idées, préfèrent s’inventer des batailles perdues d’avance.
Une Monarchie enracinée, une nation inébranlable
Ils ont beau s’égosiller, multiplier les attaques, s’accrocher à des manœuvres aussi vaines que dérisoires, ils se heurtent à une évidence qu’ils feignent d’ignorer : le Maroc est une forteresse dont les fondations plongent dans l’Histoire, soutenues par la foi et l’allégeance d’un peuple à son Roi. Ce ne sont ni leurs mensonges, ni leurs gesticulations intéressées qui altéreront cette vérité. La Monarchie marocaine est l’âme d’une nation, un héritage façonné par les siècles, une continuité qui traverse le temps avec la même force, la même légitimité. Ce lien, tissé dans les épreuves, s’est renforcé à chaque défi, cimenté par une confiance qui ne se décrète pas, mais qui se forge dans les faits, les actions et les victoires d’un Maroc qui avance, qui construit et qui s’impose.
Car contrairement aux mirages vendus par ces manipulateurs, le Maroc n’a pas attendu leurs invectives pour se hisser au rang des puissances régionales. La Vision Royale n’est pas un simple concept, elle est une réalité tangible, visible dans chaque réforme, chaque projet d’envergure, chaque pas franchi vers un avenir que ces détracteurs refusent de voir. Ils s’imaginent que leur vacarme suffira à fissurer l’édifice, mais à chaque attaque, c’est un sursaut d’unité qui surgit, une fidélité renouvelée, une souveraineté réaffirmée.
D’autant plus que dans l’ombre, loin des projecteurs et des jeux de pouvoir stériles, des Hommes d’État, d’une trempe rare, œuvrent avec une loyauté et une rigueur que ces opportunistes ne peuvent comprendre. Leur légitimité ne tient ni aux discours creux ni aux polémiques de bas étage, mais à leur engagement sans faille pour le pays. Aux côtés du Souverain, ils assurent la continuité d’une gouvernance visionnaire, plaçant l’intérêt national au-dessus de tout. Et que dire des piliers de cette stabilité ? Forces Armées Royales, services de sécurité, institutions solides qui veillent, protègent et garantissent l’ordre avec une discipline exemplaire. Ils sont les gardiens silencieux d’un Maroc qui ne cède ni aux menaces extérieures, ni aux tentatives de déstabilisation orchestrées par des pions exécutant des agendas étrangers.
Quant aux traîtres, ces mercenaires du clic et de l’intox, ils se drapent d’indignation feinte, se cachent derrière des discours creux sur les droits de l’Homme pour mieux servir leurs maîtres dans l’ombre. Que ces renégats continuent à hurler leur venin dans les couloirs sombres des réseaux sociaux et des médias acquis à leur cause. L’Histoire ne retiendra d’eux que la honte et l’oubli. Et pendant qu’ils se débattent dans l’illusion, le Maroc, lui, écrit son histoire. Il ne vacille pas, il ne recule pas. Il bâtit, il s’élève. Il choisit l’action là où d’autres s’enlisent dans le néant.
À eux la trahison, à lui la grandeur.