Amzazi s’entretient à Paris avec la Directrice générale de l’Unesco
Le ministre de l’Education nationale, de la Formation professionnelle, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Said Amzazi, s’est entretenu, vendredi à Paris, avec la Directrice générale de l’Organisation des Nations unies pour l’Education, la Science et la Culture (UNESCO), Audrey Azoulay.
Cette rencontre intervient en marge de la participation du ministre aux travaux de la 40ème session de la Conférence générale de l’Unesco et à la Première réunion mondiale de haut niveau des ministres de l’éducation.
La rencontre avec Mme Audrey Azoulay, qui s’est déroulée en présence de M. Samir Addahre, Ambassadeur-délégué permanent du Maroc auprès de l’UNESCO, a été l’occasion de passer en revue un certain nombre de projets menés avec l’Unesco, notamment l’organisation en décembre prochain à Casablanca, d’une Conférence africaine sur la petite enfance ainsi que la tenue dans le Royaume en 2022 d’un grand événement, organisé par l’Unesco tous les 12 ans, sur la formation des adultes, a déclaré le ministre à la MAP.
Cette entrevue a porté aussi sur l’importance des thématiques inscrites à l’ordre du jour de la 40ème Conférence générale de l’Unesco, telles que la mobilité et l’inclusion ainsi que les questions en rapport avec la femme, la tolérance et la paix dans le monde, a souligné M. Amzazi, qui préside la Commission Nationale Marocaine pour l’Education, la Culture et les Sciences.
Par la même occasion, le ministre a tenu plusieurs réunions bilatérales avec ses homologues notamment du Sénégal, de Chine, de Turquie, des Emirats arabes unis, de Norvège, du Qatar et de l’’Arabie saoudite, ainsi qu’avec le Directeur général de l’ISESCO, au cours desquelles l’accent a été mis sur la nécessité de renforcer la coopération bilatérale dans les domaines de l’éducation et la formation.
Ces entretiens ont permis aussi de passer en revue un certain nombre de projets de coopération en matière notamment de la mobilité des étudiants et des enseignants ainsi que de mise en place de programmes bilatéraux touchant aux domaines liés à l’éducation, à l’enseignement supérieur, à la formation professionnelle et à la recherche scientifique.