Café littéraire : Invitation à la dégustation de « L’intrication de Malabar » d’Amine Jamai
Le jeudi 25 février 2021, le Rotary Casa Corniche entame l’année 2021 avec une rencontre littéraire autour du nouveau roman « L’intrication de Malabar », du romancier et écrivain Amine Jamai. Cette rencontre sera rehaussée par la présence de plusieurs personnalités du monde rotarien ainsi que de la sphère littéraire et artistique notamment Nadia Larguet, l’artiste Jihane Bougrine, l’éditeur Philippe Broc, le réalisateur Ayoub El Aïassi…
La rencontre-débat qui aura lieu au Ginger Bouskoura, sera conjointement animé par le président du Club Rotary Casa Corniche, Khalid M’hammedi et le critique littéraire Ali Serhani.
Elle sera aussi l’occasion de mettre en avant les valeurs universelles du Rotary. Humanisme, le don de soi, le travail pour la communauté, le partage, la défense des causes humaines et sociales qui sont au cœur des préoccupations du Rotary.
Cette philosophie de vie qui part de l’homme pour servir tous les hommes et leur donner plus de confiance dans l’avenir de l’humanité. Amel Sekkal, président élue du Rotary Casa Corniche évoque à juste titre l’engagement du Rotary pour les arts et la culture, dans ce même souci de partager le savoir, de créer des ponts entre les créateurs et leurs environnements.
C’est dans ce sens, que le Rotary Casa Corniche a contribué à éditer le roman « L’intrication de Malabar », « afin de le distribuer gracieusement aux lycéens et lycienne de Casablanca et fait de ces rencontres littéraire un nouveau rendez-vous désormais incontournable dans son planning pour la promotion de la lecture chez les jeunes ».
« Entre 2 et 2,3% des enfants de leur pays – de six à seize ans – seraient considérés comme surdoués. Ce chiffre appliqué au Maroc correspondrait à plusieurs dizaines de milliers de génies perdus dans des rouages éducatifs inappropriés – rouages qui se concentrent laborieusement sur les enfants qui sont dans la norme. Notre richesse immatérielle est là, sous nos yeux, attendant telle une pierre précieuse qu’on vienne la polir finement, à coup d’enseignement adapté. À ce titre, Lao Tseu devrait faire réfléchir notre société : « Mieux vaut allumer des petites lumières que de se plaindre de l’obscurité ».
Après des études et un parcours professionnel qui l’ont conduit en Europe et en Afrique, Amine Jamai qui dirige un cabinet de conseil en stratégie au Maroc, est auteur de trois autres romans, «Le Général marocain» (2016), « Arabmageddon » (2017) et « Conspiration à Alger » (2018). Dans ce quatrième roman «L’intrication de Malabar », il raconte l’histoire d’un brillant jeune homme quitte sa modeste maison familiale, dans la campagne profonde d’Azrou, « … pour aller à l’aventure porté par des rêves de lendemains meilleurs.
Le sort et cette foutue chance lui jouent des tours et le conduisent à la rencontre de deux clochards miséreux, hauts en couleurs. Contre toute attente, leur galère se transforme en une synergie lumineuse, qui pourrait bien changer le cours de l’histoire. Mais ce serait sans compter sur d’obscurs services étrangers…».
Au cœur de l’intrigue, un mystérieux génie de mécanique quantique, doté d’une lucidité extraordinaire et d’un goût pour l’ironie acérée, recherché mort ou vif par des barbouzes aux intentions plus ou moins avouables. L’idée d’un super héros marocain n’est pas nouvelle pour Amine Jamaï, puisqu’il avait mis en scène dans son premier roman «Le Général Marocain, la conspiration des ombres» un compatriote sauvant l’humanité d’une troisième guerre mondiale.