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Ce Quentin Muller, de quelle médiocrité rampante est-il le nom ?

Par Hassan Alaoui

Plus mercenaire de la plume que Quentin Muller, on n’en trouve pas. On n’en fait pas mieux non plus ! Et s’il n’existait pas, il nous faudrait l’inventer. Cet inconnu dans les milieux de la presse française, débarqué sur la scène ex-abrupto veut sévir et servir – ses commanditaires bien connus – comme le justicier, le Rouletabille des causes perdues. Il passe le clair de sa vie à insulter notre pays, le Roi, le peuple marocain aussi…

Du Maroc, il a décidé de faire sa cible et de ses institutions sa bête noire. Aveuglé par une haine viscérale, il confond journalisme et propagande et, transformé en agent du régime d’Alger et du polisario, il n’a de cesse de s’attaquer à tout bout de champ à notre pays, d’être son inépuisable inquisiteur et le pathétique postier de la junte dictatoriale d’Alger. Sans foi ni loi, violant la simple règle de la retenue, il transpire sa hargne et s’acharne contre les moulins à vents avec cette triste passion qui est aux ennemis du Maroc ce que la jalousie est à leur détresse.

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Petit Quentin est aujourd’hui une caricature ! Ni plus, ni moins, loin d’être ne serait-ce que le pauvre échotier, rancunier dans sa piètre caricature, ni même le pardonnable amateur dans le métier, emporté par sa haine baveuse ! Qui a vite fait de brûler son blé en herbe et érige l’insulte vulgaire en argument. Puisque la question tient lieu aujourd’hui d’une mode , on la posera aussi : pour qui roule Quentin ? Ce petit caporal de l’inquisitoire volonté de médire n’est-il pas, ni plus ni moins, le suppôt des caporaux d’Alger ? Un frustré converti ? Ce curé de la pensée trahie , personnage boursoufflé qu’un Balzac eût pu croquer en une phrase : une médiocrité rampante…

On croit rêver : le Quentin Muller , à force de se travestir, de baver ne finit-il pas par transformer le masque de clown qu’il est en un tragique personnage de dérision ? Le journalisme n’est pas, n’a jamais été l’insulte mensongère, encore moins le travestissement, ce en quoi le petit Quentin excelle avec art et délectation, il ne peut à ce point incarner l’avilissement d’un journalisme couché ! Asservi, rien que ça, le représentant désabusé d’une Cinquième colonne embusquée dans les rangs d’un hebdomadaire – autrefois fondé par nos amis, dont Jean-François Kahn – vrai et grand journaliste quant à lui, s’il en fut.

Médiocrité rampante, folliculaire, charognard marchant sur les réputations, Quentin Muller n’en finit pas de « saloper » la profession !

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