Congrès national des médecins internes et résidents, du 16 au 18 octobre à Fès
La première édition du congrès national des internes et résidents du Maroc aura lieu du 16 au 18 octobre à la faculté de médecine et de pharmacie de Fès, autour de la thématique ‘’la formation médicale au Maroc : état des lieux et perspectives’’.
Cet évènement qu’organise l’Association des médecins internes et résidents du CHU Hassan II de Fès (AMIRF) se tiendra en parallèle avec la 13-ème édition des journées scientifiques et culturelles d’internat et de résidanat de Fès.
Ce congrès, qui coïncide avec le 20ème anniversaire de la création de la faculté de médecine et de pharmacie de Fès, est une occasion d’amorcer l’union de l’ensemble des internes et résidents du royaume et de construire ensemble les pratiques de demain, de favoriser le partage du savoir et du savoir-faire entre les jeunes médecins et de partager les connaissances des uns et des autres, selon les organisateurs, qui ont mis en place un programme riche jalonné d’activités scientifiques mais aussi culturelles et sportives.
Plus de 1.000 internes et résidents des différents centres hospitaliers universitaires, aussi bien nationaux qu’internationaux, se réuniront à Fès pour prendre part aux conférences, formations et ateliers programmés au cours du congrès. Une centaine de communications orales et plus de 300 communications affichées sont prévues à cet effet.
D’après ses initiateurs, cette première édition a un but purement scientifique. Elle sera axée sur le partage des études menées dans les différents centres hospitaliers du Maroc, l’enseignement de techniques et approches pratiques, dans le cadre d’ateliers thématiques, et l’organisation de conférences animées par un collège de professeurs enseignants de la faculté de médecine de Fès.
‘’Il ne s’agit pas là d’une assemblée autour d’un sujet précis, mais bien d’un rassemblement poly-thématique, pluridisciplinaire et multi-spécialisé, qui portera sur une étendue scientifique allant de l’élémentaire à l’hyperspécialisation’’, explique-t-on.