De nouvelles attaques du Polisario contre le Maroc à Aousserd
Le régime algérien est placé sous les feux des projecteurs une fois de plus juste après la visite de l’Envoyé spécial de l’ONU au Sahara. Pour marquer son hostilité envers le Maroc après les tentatives d’infiltration d’hier, de nouvelles attaques du Polisario auraient eu lieu, depuis le quartier général du groupe armé situé à Tindouf, en Algérie, contre la région d’Aousserd. Cette situation suscite de vives inquiétudes quant à son impact sur la stabilité de la région.
Le groupe séparatiste du Polisario, financé et hébergé par l’Algérie, profite de l’attention accordée par les Forces Armées Royales au sauvetage des victimes du séisme d’Al Haouz pour lancer des attaques contre le Maroc. Cette tactique opportuniste vise à exploiter un semblant de vulnérabilité du Maroc dans cette période, alors qu’il est engagé dans des opérations humanitaires de grande envergure.
Cette dernière attaque autorisée certainement par l’Algérie en ce jour, survient dans le contexte des récents séismes d’Al Haouz, qui ont déjà causé d’énormes pertes humaines et matérielles dans la région. Depuis ce tragique événement, le front Polisario a multiplié ses tentatives dans la région d’Aousserd.
Le séisme d’Al Haouz, survenu le 8 septembre, a coûté la vie à plus de 2 900 personnes, et a laissé plus de 5500 blessés. Alors que le Maroc se remet toujours de cette catastrophe naturelle et tente de secourir les victimes, le Polisario a cyniquement intensifié ses opérations hostiles.
Malgré les mises en garde de l’ONU, le Polisario, soutenu et armé par l’Algérie, ne ménage aucun effort pour atteindre ses objectifs séparatistes, mettant en danger la stabilité régionale et le processus de paix en cours. Il est clair que l’Algérie joue un rôle de premier plan dans la perpétuation du conflit, en permettant au Polisario de lancer des attaques depuis son territoire.
Dans ce contexte, il est impératif que la communauté internationale exhorte l’Algérie à mettre fin à son soutien au Polisario et à respecter les principes fondamentaux de non-ingérence dans les affaires d’autrui.
Le Maroc, de son côté, continue de faire preuve de retenue et de mettre l’accent sur un règlement pacifique du conflit du Sahara.