Découpage territorial : Attentes et spéculations avant le prochain recensement

À l’approche du recensement général de la population, prévu du 1er au 30 septembre 2024, les spéculations sur une possible restructuration territoriale au Maroc s’intensifient.

Les résultats de ce recensement pourraient influencer les décisions futures du ministère de l’Intérieur concernant l’aménagement du territoire. Bien que le découpage actuel soit salué pour son efficacité, les dynamiques démographiques et les besoins de développement pourraient justifier une révision.

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Les experts soulignent la nécessité de résoudre les points d’achoppement dans le découpage territorial, surtout dans le cadre de la mise en œuvre du nouveau modèle de développement (NMD) à l’horizon 2035. Des propositions circulent, telles que la division de Boulemane et Taounate en deux communes, ou la fusion de certaines communautés avec des provinces voisines.

La disponibilité d’études post-recensement sera capitale pour orienter ces décisions, permettant de déterminer les causes des blocages de développement et de réviser le zonage en fonction des objectifs de développement.

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