D’un folliculaire dénommé Benchemsi, commis de HRW dont j’appelle à la fermeture
J’en appelle à mettre un terme aux activités de HRW au Maroc et clouer au pilori un traitre morveux dénommé Benchemsi
Le dernier rapport de Human Right Watch (HRW) sur le Maroc, outre qu’il constitue un compendium de mensonges, avait pour objectif de nuire et porter la dague contre notre pays. D’un bout à l’autre des 143 pages qu’il comporte, il exprime l’amertume et la passion triste de celui qui en a été l’inspirateur : Ahmed Réda Benchemsi. Ce rhéteur qui cultive sa rancœur contre le Maroc se transforme, aujourd’hui, en mercenaire affiché, un folliculaire affidé qui vend son âme au « parti étranger » et à la « 5ème Colonne » ! Benchemsi travaille à visage découvert désormais contre « son » pays, sous-fifre d’une lamentable organisation et bénéficiant des subventions que le contributeur américain – entre autres – paye sous forme de dons à cette dernière.
Il est ce qu’on appelle l’incarnation de l’hubris qui n’en finit point de nous gonfler, un voyou, avec ses allures d’escogriffe désabusé et sa pensée reptilienne. Mohamed Réda Benchemsi qui, sans scrupules, a cru s’attaquer aux institutions et se mesurer aux grands de notre pays, traître à son entourage, à sa famille et à son pays, est aujourd’hui le sycophante de HRW, cette organisation dont le Maroc devrait, non seulement dénoncer l’existence, mais arrêter les activités et la présence ici chez nous. Il n’y a aucune raison pour la tolérer sur notre sol, encore moins accepter son existence.
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En créant « Tel Quel » Réda Benchemsi ne dit pas qu’il a piqué le titre à une publication fondée dans les années soixante-dix à Paris par mon défunt ami, Jean-Edern Hallier, écrivain de talent, gauchiste illustre et figure emblématique de la scène médiatique française. Il s’est approprié le titre, mais ne s’est jamais soucié d’annoncer l’origine. Le petit Réda s’est pris la grosse tête, profitant de l’ouverture que le Roi Mohammed VI, après son arrivée au pouvoir, a insufflée pour se présenter comme le Deus ex machina, livrant sa soupe à une clientèle en mal de sensation, enfin décomplexée et en quête de lumières clinquantes. Les Une et les manchettes racoleuses de « Tel Quel » lubrifiaient en effet chaque semaine le nombril d’une classe moyenne qui entre week-end dans des chaumières et parasol de Marbella, se vautrait à longueur de journée, hiver comme été , dans la critique du régime voire du Roi…Pour un peu, Réda Benchemsi et sa clique se prendraient pour les chevaliers blancs, piégés dans une cinglante euphorie et l’ivresse déliquescente de jeunes qui se présentaient pour les libérateurs du Maroc. Fanfreluches attardés, vite récupérés par un certain « Prince rouge » qui finançait à tour de bars leur frasques et réglait leurs dettes…
Aujourd’hui, le ci-devant fondateur de l’hebdomadaire au nom usurpé de « Tel Quel », n’est autre que le commis à la trahison au service de Human Right Watch , maître de la délation, hargneux et revanchard, un racoleur qui, non content d’être à court d’arguments, s’épuise à nous servir les mêmes plats réchauffés, devient le déterreur de vieux textes, le plumitif, cette « plume noire » , dans sa main déterré le cimeterre de l’escroquerie intellectuelle drapée de faux moralisme, au service haineux de la Cinquième colonne. Benchemsi a acquis la nationalité américaine, il se fait fort de la brandir à tout bout de champ. D’un forfait l’autre, d’une haine à une forfaiture, en filigrane nous suivons le désastreux parcours de ce délateur au rictus affolant, dépourvu de charme et de sens comme tous les traîtres, en définitive sans envergure. Il est vrai que l’impardonnable méchanceté a la vie dure, elle se mue en une insondable aigreur que Benchemsi porte si bien.