Essaouira : Une 2è édition prometteuse de la « La Dolce Vita à Mogador » en octobre
La deuxième édition de « La Dolce Vita à Mogador », le festival de la grande école italienne du film classique, se tiendra du 4 au 8 octobre prochain dans la Cité des Alizés.
Organisé par l’Association Essaouira-Mogador en partenariat avec le ministère de la Culture et les ministères italiens des Affaires étrangères et de la Culture, ce festival, dernier-né de la très riche pléiade des rendez-vous souiris de l’art et de la culture, propose cette année de « revisiter et de débattre autour des réalisations les plus emblématiques du cinéma italien, celles d’hier et d’aujourd’hui », indiquent les organisateurs dans un communiqué.
Forte du soutien du Centre du Cinéma Marocain (CCM) et de « l’Italian Screens », un groupement qui rassemble notamment Cinecittà et l’Académie du Cinéma italien, « La Dolce Vita à Mogador » s’attachera comme en 2022 à privilégier la pédagogie en organisant des projections dédiées aux jeunes et qui seront suivies de débats autour des professionnels du cinéma marocain et italien.
Lire aussi : La convergence entre les politiques urbaine et environnementale, levier des villes durables au Maroc
La première édition avait réuni 1.200 participants et rassemblé plus de 600 élèves des établissements scolaires d’Essaouira pour des « Master Class » sur les métiers du cinéma animés par des professionnels du 7ème Art, marocains et italiens, ayant partagé leur expertise et leurs expériences avec les générations montantes, rappelle-t-on.
Le succès de ces « Master Class » et l’engagement des jeunes souiris ont confirmé le choix des organisateurs qui avaient, dès le départ, érigé en priorité l’offre faite aux écoles et aux jeunes pour se familiariser avec la « planète cinéma » dans la richesse et la complexité de toutes ses diversités, souligne la même source.
Ainsi, Essaouira donne rendez-vous en octobre pour une « Dolce Vita façon Mogador pour prolonger la belle histoire que la Cité des Alizés écrit avec le 7ème Art depuis l’apparition du cinématographe », conclut le communiqué.
Avec MAP