La CAF a officiellement homologué le maillot de la Renaissance Sportive de Berkane
La Confédération Africaine de Football (CAF) a officiellement homologué le maillot de la Renaissance Sportive de Berkane (RSB) pour la saison 2024-2025, signifiant une reconnaissance positive pour le Maroc. Cette décision, bien que technique, prend une dimension symbolique face aux tentatives de politisation par le régime algérien autour d’un simple match de football.
Pour apprécier l’importance de cette approbation, il faut revenir sur le contexte d’un match prévu le 24 mai dernier entre la RSB et l’Union Sportive de la Médina d’Alger (USMA). Cet événement a révélé comment le football peut transcender le sport pour devenir une plateforme où s’expriment des rivalités politiques, en particulier où les tensions diplomatiques se doublent de compétitions sportives.
Les matchs entre la RSB et l’USMA s’inscrivent dans un cadre de désaccords diplomatiques persistants, notamment autour de la question du Sahara marocain. Ces rencontres sportives, loin d’être de simples compétitions, ont été orientées par le régime algérien aux allures de batailles symboliques où la passion des supporters rejoint des enjeux nationaux.
Face à cette situation, la CAF a tenté de maintenir une neutralité exemplaire en adoptant une position juste : Celle d’approuver la carte intégrale du Maroc sur le maillot de la Renaissance Sportive de Berkane en homologuant officiellement son maillot. L’approbation du maillot de la RSB représente un geste symbolique de la part de la CAF pour souligner son engagement envers l’intégrité sportive et son indépendance face aux pressions.
Pour l’Algérie, les défaites sportives face au Maroc sont souvent perçues au-delà du terrain, intensifiant les tensions existantes. Le régime algérien a, à maintes reprises, instrumentalisé ces affrontements sportifs comme moyen de renforcer un sentiment patriotique malgré les défis internes.
La question demeure de savoir si cette approbation contribuera à calmer le régime algérien dans sa croisade perdue d’avance contre le Maroc ou s’entêtera-t-elle de continuer ses actes hostiles contre le Royaume alors que les urgences sont ailleurs, car la marocanité du Sahara n’est pas un débat.