L’Affaire du faux beau-frère de Hammouchi, qui a dévoilé les accointances séparatistes de l’ex-policière Ouahiba Khourchech
Par Chouaib Kamali
Une fake news, récemment diffusée par une bloggeuse amateur, du nom de Samia Errazzouki, une étudiante américaine d’origine marocaine vivant à Washington DC, a récemment attiré toutes les petites mouches de la diaspora, qui fleurissent habituellement sur les bouses de vache, suite à la publication par un site électronique inconnu, de l’histoire rocambolesque de l’ex-fonctionnaire de police limogée, Ouahiba Khourchech, ayant porté plainte pour un prétendu harcèlement sexuel, contre son supérieur hiérarchique au Maroc.
Cette ancienne agent de police, qui s’est établie chez l’oncle Sam, avec son mari américain d’origine yéménite et sa fille, tente actuellement de fédérer autour d’elle des plumitifs comme Ali Lmrabet et des youtubeurs comme les renégats Mustapha Adib et Radi Elilli, qui ne cachent plus leur allégeance au polisario, et qu’elle inonde de ses larmes de crocodile en leur distillant des contre-vérités, pour tenter de susciter la compassion sur son cas.
Dotée d’un joli minois, Ouahiba affirme que sa carrière « prometteuse » a été brisée par l’acharnement de ses supérieurs contre elle. Une affirmation ayant laissé pantois plusieurs de ses ex-collègues, qui se sont interrogés si Ouahiba avait l’ambition de gravir les échelons en papillotant des yeux, sachant qu’ils sont unanimes à considérer que celle-ci ne s’est à aucun moment illustrée par un quelconque fait d’arme professionnel notoire, durant ses 16 années passées au sein des services de la police marocaine, contrairement aux milliers de ses autres condisciples féminines, dont plusieurs se sont illustrées par leur abnégation et leur sens du devoir, leur ayant permis de briguer des postes sensibles de responsabilité au sein de la DGSN sur la base de la méritocratie, devenue, depuis mai 2015, la règle d’or de cette institution.
Pourtant, lorsqu’elle égrène ses péripéties en se jouant de la naïveté juvénile de Samia Errazzouki, une inconditionnelle de l’égérie du polisario Aminatou Haidar, Ouahiba semble encore persuadée que l’atout de son physique avantageux est une preuve suffisante et parlant d’elle-même, pour prouver le harcèlement sexuel qu’elle continue d’alléguer, bien que la justice l’ait déboutée, après avoir constaté, suite à une enquête rigoureuse et indépendante, que ses accusations sont dénuées de tout fondement.
Et pour cause, Ouahiba la femme mariée fidèle et prude, s’est plutôt retrouvée propulsée au cœur d’un scandale sexuel révélé par un media marocain, qui la montre sous le regard innocent de sa fille mineure, en pleins ébats sexuels dans les bras de son avocat, le très polémique maitre Ziane. Une relation d’adultère qui a suscité une énorme vague d’indignation au sein de l’ensemble des corporations des robes noires, lesquelles ont condamné avec la plus grande vigueur le comportement amoral de cet ex-bâtonnier et ancien ministre des droits de l’homme, qui enfreint la déontologie professionnelle en encaissant en nature les honoraires charnels de sa cliente.
Dès lors, quelle peut être la fiabilité de cette femme qui use machiavéliquement de ses charmes, autant pour se victimiser auprès des pourfendeurs de la cause nationale, que pour payer ses créances à un avocat amateur de chaire fraiche, surtout lorsqu’elle s’aventure à mêler dans son histoire putride, le nom du patron de la DGSN, en tentant de le décrire mensongèrement comme étant le beau-frère du responsable sécuritaire, avec lequel elle est en conflit.
Une élucubration des plus fantaisistes, qu’une source sécuritaire n’a pas manqué de démentir, en soulignant le fait qu’il s’agit plutôt d’une basse manœuvre de Ouahiba pour induire l’idée fallacieuse que le non lieu dont a bénéficié son supérieur direct, résulte, à la fois, de sa protection par Abdellatif Hammouchi et de la pression corollaire qu’aurait exercé la police sur la justice, pour la débouter, avant de remarquer que « c’est principalement cet argument à l’emporte-pièce constituant la pierre angulaire de son récit, qui a pourtant convaincu, malgré son caractère insensé, les refuzniks anti-marocains, comme Samia Errazouki, Ali Lmrabet, Mustapha Adib et Radi Elilli, de relayer le tissu d’insanités rapportées par Ouahiba, en jubilant d’avoir trouvé un nouvel angle de tir contre le Maroc… sauf que la cartouche est vide ».
Tout le monde aura bel et bien compris, que cette affaire n’est qu’une énième manipulation des milieux marécageux qui cherchent à saper la confiance des marocains en leurs institutions et qu’aucun crédit ne peut être accordé à une ex-fonctionnaire de police qui a prêté serment en 2003, devant le Roi, pour défendre l’intégrité du pays, pour se retrouver, quelques années après, en train de fricoter, avec des agents patentés du polisario.