Le drapeau marocain à nouveau brûlé : La colère des Marocains sur la toile
Les Marocains tirent à boulets rouges sur « les séparatistes » rifains qui se sont rassemblés, dimanche dernier, à Betz en France, brandissant des drapeaux de « ce qu’ils appellent la république du Rif », selon la presse nationale. Sur la toile, beaucoup d’internautes marocains dénoncent leur forfaiture.
Après Paris, c’est à Betz cette fois, qu’un groupe de séparatistes s’est réuni, appelant au « séparatisme » et au « républicanisme ». Ces dizaines de personnes, d’origine marocaine, ont manifesté devant la résidence du Roi Mohammed VI, dans le nord de la France. Ils ont brûlé et piétiné le portrait du souverain ainsi que le drapeau marocain, d’après la vidéo filmée.
Sur la toile, les Marocains dénoncent cet acte qui porte atteinte aux symboles de la souveraineté nationale et expriment leur ferme attachement à leur Mère-patrie et à ses sacralités. «Vive le Maroc et honni soit celui qui le trahit!», c’est ainsi que les internautes ripostent à cette poignée de séparatistes rifains.
Les quelques « militants » rifains, affichés ouvertement « indépendantistes », hostiles au Maroc, se sont épuisés en slogans dans l’indifférence totale des populations vaquant à leurs affaires. Ils ont cependant procédé à des actes d’une rare violence gestuelle, notamment en piétinant et en brûlant le drapeau national du Maroc. Et pour mieux illustrer leur forfait, ils ont marché sur les portraits du Roi, en prenant soin de photographier tour à tour leurs sinistres scènes avant de et les publier.
A rappeler qu’en octobre dernier, quelques individus avaient osé porter atteinte au drapeau national lors d’une marche à Paris. Un acte que le Conseil de la communauté marocaine à l’étranger (CCME) avait condamné avec la plus grande fermeté. Un comportement lâche et abominable de certains individus qui ont brûlé le drapeau national, affirmant qu’il s’agit d’un “délit de blasphème à la sacralité de la souveraineté nationale et d’une offense à la dignité de tous les Marocains où qu’ils soient”.