Les investisseurs turcs intéressés par le Maroc
Les investisseurs turcs sont grandement intéressés par le Maroc eu égard à sa stabilité et à la main d’œuvre qualifiée dont dispose le Royaume, outre son positionnement stratégique et son ouverture sur le continent africain, a affirmé, vendredi à Rabat, l’ambassadeur de la Turquie au Maroc, Ethem Barkan Öz.
Lors de ses entretiens à Rabat avec le président de la Chambre des représentants, Habib El Malki, Barkan Öz a mis en avant les grandes opportunités et perspectives prometteuses de coopération qui existent de part et d’autre et l’impératif de les explorer au service des intérêts des deux États, indique un communiqué de la Chambre des représentants.
L’ambassadeur turc a également mis en avant l’aspect exceptionnel des relations maroco-turques, « de portée historique et civilisationnelle importantes et séculaires« , rappelant que « les deux pays ont toujours été des alliés qui se soutiennent mutuellement« . Barkan Öz a saisi cette occasion pour souligner l’importance de faire connaitre l’histoire commune des deux pays en promouvant la recherche scientifique et en organisant des manifestations en vue de jeter la lumière sur cette histoire partagée.
De son côté, El Malki a salué les relations historiques et solides unissant le Maroc à la Turquie, caractérisées par le respect mutuel et l’amitié continue, rappelant que la décision de Sa Majesté le Roi Mohammed VI de nommer un représentant du Souverain à la cérémonie d’investiture du président turc Recep Tayyip Erdogan illustre la solidité des liens fraternels forts unissant les deux peuples et pays.
Le président de la Chambre des représentants a appelé au renforcement de ces relations dans les différents domaines économiques, parlementaires, culturels et scientifiques, soulignant l’importance de la coordination et du dialogue sur les diverses questions d’intérêt commun.
Les discussions ont également porté sur les moyens de hisser les relations bilatérales pour davantage de coopération et de coordination au service des intérêts communs des deux Etats, relève la même source.