L’ONG CIRAC appelle l’Afrique à « s’inspirer de l’exemple et du leadership de SM le Roi »
Le président du Comité international pour le respect de la Charte des droits de l’Homme et des peuples (CIRAC), Martin Mavula Maluza, a invité l’Afrique à « s’inspirer de l’exemple et du leadership de SM le Roi Mohammed VI aux plans diplomatique et de développement ».
« L’Afrique a besoin du modèle marocain qui, sous la conduite de son Souverain, joue un rôle important dans la consolidation de la sécurité, de la stabilité et du développement dans le continent », a déclaré M. Maluza à la MAP à l’occasion de la Fête du Trône. Il a exprimé, en sa qualité d’acteur de la société civile africaine et de président du CIRAC, une ONG dotée du statut consultatif auprès de l’ONU et très active à l’échelle continentale, son « admiration pour la diplomatie offensive et exemplaire menée par SM le Roi en direction de l’Afrique subsaharienne et en faveur de son développement ». Le militant associatif rd-congolais s’est dit réjoui de « la grande nouvelle » de l’annonce par le Souverain de la décision du Royaume de retrouver sa place au sein de la grande famille de l’UA.
« Nous sommes heureux de voir le Royaume suivre les sentiers de SM Mohammed V, l’un des pères fondateurs de l’OUA qui est devenue en 2002 l’UA », a fait valoir M. Maluza, également vice-président de la coordination des ONG africaines pour les droits humains et le développement. Il a estimé que « la politique de la main tendue, de coopération et de solidarité Sud-Sud demeure hautement appréciée par la société civile africaine ». « La société civile que je représente, plus particulièrement le CIRAC, a-t-il poursuivi, est disposée à apporter son soutien total » à la démarche déployée par le Maroc sous l’impulsion de SM le Roi pour renforcer le co-développement du continent dans l’intérêt bien compris de ses peuples.
Le président de l’ONG a relevé que l’histoire a démontré le caractère totalement artificiel de la présence au sein de la famille africaine d’entités séparatistes sans fondements de souveraineté.
« L’histoire, la géographie et les impératifs sécuritaires du continent ne justifient en aucune manière la création dans la région d’une énième entité vouée à l’échec« , a-t-il souligné.