Le polisario collectionne les défaites l’une après l’autre en Amérique latine
Le Front polisario ne fait que collectionner les défaites l’une après l’autre en Amérique latine sur fond d’une « vague de rejet de la présence des séparatistes du Polisario dans plusieurs forums internationaux », écrit le site d’information indépendant péruvien « AlaHoraNoticias ».
Dans un article publié jeudi, le site d’information est revenu sur le nouveau revers essuyé par le poliario, mercredi dans la capitale panaméenne, suite à l’expulsion de son représentant au Panama, le dénommé Ali Mhamed Mbarek, de la cérémonie officielle de passation de pouvoirs entre le bureau exécutif sortant du parlement centraméricain (Parlacen) et le nouveau bureau élu, récemment, dans le cadre des travaux de l’actuelle session de cette instance régionale au sein de laquelle le Maroc jouit du statut de membre observateur permanent.
Selon le portail d’information péruvien, l’expulsion du représentant du « polisario » intervient en raison du fait que le Parlacen ne reconnaît pas l’entité fantoche et n’entretient aucun lien avec celle-ci.
Cette nouvelle débâcle fait suite au camouflet infligé au polisario au Pérou, les autorités de ce pays ayant interdit récemment l’accès au territoire à la dénommée Khadijetou Mokhtar, suite à sa condamnation pour usurpation de statut présumé de diplomate et violation des lois de l’immigration en vigueur dans ce pays latino-américain.
Les autorités péruviennes ont par la suite refoulé la séparatiste du polisario, le 27 septembre dernier, de l’Aéroport international de Lima vers l’Espagne, pays d’où elle a embarqué pour la capitale péruvienne le 9 septembre « en application des lois migratoires en vigueur en vertu desquelles les étrangers qui ne sont pas admis sur le territoire national doivent retourner d’où ils sont venus ».