QUAND LE MAROC, DENOMME « MAKHZEN », » DEVIENT L’OBSESSION DEPRIMANTE « D’ALGERIE PATRIOTIQUE »
On s’habitue à tout , même à la connerie humaine !
Pour justifier le peu d’intérêt des hommes de culture algériens pour leur condition en Algérie, la feuille de chou appelée « Algérie patriotique », qui n’est autre que l’organe de propagande antimarocain du fils d’un général algérien, n’en démord pas et accuse le Maroc à tout bout de champ.
Lisez s’il vous plait cette triste passion de l’antimarocanisme :
ALGÉRIE PATRIOTIQUE :
« Il ne se passe désormais plus un jour où de forts symboles de la culture algérienne qui jadis faisaient la gloire du drapeau national, passent à l’ennemi qu’il soit intérieur comme le MAK ou extérieur, comme le Makhzen.
» Dans leur variante populaire, des icônes de l’art musical, du sport ou encore de l’écriture tombent en dissidence chaque année et sont récupérées à l’étranger, Maroc, France, Israël étant les premiers concernés.
« Il existe bel et bien un mouvement intellectuel de mtornis, dont Boudjedra nous en fit sentir le danger, qui a pris désormais un tour inquiétant dans le milieu de la chanson populaire, autrefois socle de l’unité arabo-berbère. De quoi faire retourner un El-Anka dans sa tombe, à moins qu’il ne soit lui-même récupéré un jour, à titre posthume, par le Makhzen ou le MAK, deux entités foncièrement anti-algérienne
« Il ne se passe désormais plus un jour où de forts symboles de la culture algérienne qui jadis faisaient la gloire du drapeau national, passent à l’ennemi qu’il soit intérieur comme le MAK ou extérieur, comme le Makhzen.
» Dans leur variante populaire, des icônes de l’art musical, du sport ou encore de l’écriture tombent en dissidence chaque année et sont récupérées à l’étranger, Maroc, France, Israël étant les premiers concernés.
« Il existe bel et bien un mouvement intellectuel de mtornis, dont Boudjedra nous en fit sentir le danger, qui a pris désormais un tour inquiétant dans le milieu de la chanson populaire, autrefois socle de l’unité arabo-berbère. De quoi faire retourner un El-Anka dans sa tombe, à moins qu’il ne soit lui-même récupéré un jour, à titre posthume, par le Makhzen ou le MAK, deux entités foncièrement anti-algérienne