Taoufik Lachker Hidara, DG de La Marocaine Vie pour un engagement fort envers la valorisation de l’épargne
Propos recueillis par Mouhamet Ndiongue
Taoufik Lachker Hidara, Directeur général de La Marocaine Vie, nous dévoile les réalisations majeures de la compagnie depuis sa prise de fonction, notamment les initiatives clés de transformation digitale et de changement de modèle commercial qui ont marqué le succès de l’entreprise.
Dans cet entretien, il met en lumière l’offre santé phare de La Marocaine Vie, baptisée Sehha, ainsi que les contrats épargne multisupports qui offrent aux souscripteurs de nombreuses opportunités de rendement. Le DG de La Marocaine Vie évoque également le tout nouveau support en unités de compte, Horizon Mid & Small CAP, qui propose des perspectives de rendement prometteuses à l’épargnant.
Taoufik Lachker Hidara dévoile les accomplissements exceptionnels de La Marocaine Vie et les perspectives passionnantes pour l’avenir, placées sous le signe de la valorisation de l’épargne et de l’innovation digitale.
l Maroc diplomatique : Quel a été votre parcours avant que vous n’arriviez à la tête de la Marocaine Vie ?
– Taoufik Lachker Hidara : Entré à La Marocaine Vie il y a plus de 20 ans et y ayant fait l’essentiel de ma carrière, je suis ce qu’on peut appeler un « pur produit maison ».
Après une première expérience de 9 mois au sein de la filiale marocaine du groupe Zurich Assurances (devenue depuis Allianz Maroc) en tant qu’Actuaire Post Tarification, je rejoins La Marocaine Vie en 2003, soit deux ans après son entrée dans le giron du groupe Société Générale, d’abord en qualité d’Actuaire Senior. Je deviens successivement Directeur Actuariat et Réassurance en 2006, puis Directeur Technique et Pilotage quatre ans plus tard, en charge des activités Actuariat, Réassurance et Contrôle de Gestion.
En 2014, je m’envole avec femme et enfants pour Paris, rejoignant la maison mère, Société Générale Assurances, pour y parfaire mes armes au sein du groupe, bénéficiant d’un programme de mobilité internationale.
J’y suis nommé Directeur Actuariat International et participe notamment à l’implémentation de la nouvelle réglementation « solvabilité II » au sein des entités à l’international.
En 2015, je deviens Directeur Actuariat et Finances à l’International, notamment en charge du pilotage du processus budgétaire des entités à l’international.
En fin d’année 2018, je signe mon grand retour à La Marocaine Vie, d’abord en tant que Directeur Général Délégué. Me sont notamment confiées les missions de participation à la définition et à la mise en œuvre de la stratégie de la compagnie, et de renforcement de l’industrialisation de nos plateformes de gestion sur les différents canaux de distribution pour améliorer la qualité du service client et la maîtrise des risques et des coûts.
Le 1er octobre 2021, je suis nommé Directeur Général de la compagnie par le Conseil d’Administration, animé par la ferme volonté de poursuivre la vocation de La Marocaine Vie d’être l’assureur de référence présent dans les moments qui comptent.
l Qu’est-ce qui vous a le plus marqué durant votre carrière ?
– Le plus surprenant est sans doute que rien ne me prédestinait à cette carrière.
Démarrant mes études supérieures à la fin des années 90, coïncidant avec la catastrophe annoncée du bug de l’an 2000 qui avait suscité de vives inquiétudes à l’échelle mondiale, le contexte de l’époque avait fortement influencé mon choix initial d’orientation. Je me suis d’abord inscrit à la filière informatique proposée par l’Institut National de Statistique et d’Économie Appliquée (INSEA), espérant devenir Ingénieur Informatique. C’est la rencontre d’un professeur convaincant, conjuguée à ma passion pour les chiffres, qui a très vite guidé ma réorientation vers la filière Actuariat-Finance, à peine mise en place au sein du même Institut, faisant naître chez moi une nouvelle vocation.
D’abord spécialisé en assurance non-vie, c’est une seconde rencontre, tout aussi décisive dans mon chemin de carrière, avec celui qui deviendra mon premier manager, Abderrahim Chaffai, qui m’encourage à opérer un virage vers l’actuariat en assurance-vie en début de parcours professionnel, marqué donc de son empreinte.
Évidemment, mes cinq années d’immersion au sein de Société Générale Assurances en France ont aussi été à la fois un accélérateur de carrière et ont participé à forger mon identité et ma personnalité, élargissant mes horizons et mon champ de compétences professionnelles et interculturelles, au contact de collègues de différents métiers à l’international et contribuant à des projets de grande envergure.
l Pouvez-vous nous parler des différentes réalisations de La Marocaine Vie depuis votre nomination à la tête de la compagnie ?
– Difficile d’être exhaustif. C’est que dans un secteur assurantiel en pleine (r)évolution sous l’effet d’un environnement changeant, nous nous devons de suivre le mouvement en accélérant notre dynamique de transformation pour accompagner les attentes évolutives de nos clients et collaborateurs. Je m’évertuerai donc à ne citer que les réalisations les plus impactantes sur l’ensemble des dimensions.
En termes de business model tout d’abord, le lancement en juin 2022 de notre filiale d’assurance participative Al Maghribia Takaful, répondant aux besoins de protection des personnes désireuses de souscrire des solutions d’assurance conformes aux avis du Conseil Supérieur des Oulémas. Elle ouvre de nouvelles perspectives pour La Marocaine Vie et renforce son modèle de bancassurance intégré, en soutenant le développement de Dar Al Amane, la fenêtre participative de Société Générale Maroc.
En termes de transformation digitale aussi. À titre d’exemple, je citerai la mise en place d’une plateforme ultrasécurisée digitalisant le processus de déclaration de sinistre santé, la nouvelle version de notre application mobile, le lancement d’un portail entreprise facilitant les transactions avec nos entreprises clientes et la refonte de différents parcours, en synergie avec Société Générale Maroc, permettant à nos clients communs de réaliser une série d’opérations à distance et en toute autonomie en matière d’épargne.
L’automatisation prend également du galon au sein de La Marocaine Vie. Nous avons beaucoup avancé en la matière ces dernières années, avec la mise en place de plus de 10 robots pour accélérer et fiabiliser les processus les moins complexes de la compagnie, permettant à nos collaborateurs de se concentrer sur des activités à plus forte valeur ajoutée.
Cette robotisation nous permet de gagner en efficacité et en qualité de service grâce à des délais de traitement réduits, de prendre des décisions plus judicieuses grâce à la disponibilité en temps réel des différentes données générées, et de faciliter la collaboration entre nos différents métiers grâce à une meilleure efficacité dans la coordination des tâches à réaliser.
En termes d’offres également. Je pourrai citer l’enrichissement de notre offre santé phare Sehha et de nos contrats épargne multisupports, avec le lancement d’un nouveau support en unités de compte baptisé Horizon Mid & Small CAP, renfermant pour l’épargnant de grandes opportunités de rendement.
Sur les plans normatif et réglementaire, je citerai la mise en place avec succès des nouvelles normes IFRS9 et IFRS 17, des nouveaux standards révolutionnant le secteur de l’assurance en améliorant la qualité de l’information comptable et financière, garantissant la confiance de toutes les parties prenantes.
Enfin, en tant qu’Employeur Responsable plaçant le développement de nos collaborateurs au cœur de nos priorités, nous avons notamment développé au cours de ces deux dernières années une politique de mobilité interne et au sein du groupe favorisant les évolutions et les reconversions professionnelles, renforçant ainsi l’employabilité de nos équipes, et ce sont déjà presque 10% d’entre elles qui en ont bénéficié, donnant un nouvel élan à leur carrière et élargissant leurs horizons, en explorant de nouvelles opportunités qui nous l’espérons participent à leur épanouissement.
l Justement, vous avez récemment annoncé avoir mis en œuvre la norme IFRS 17, qu’attendez-vous de cette nouvelle norme et qu’elle sera la différence avec IRFS 4 ?
– La nouvelle norme IFRS 17 révolutionne le secteur de l’assurance en ce sens qu’elle bouleverse la philosophie des compagnies d’assurance en y renforçant la culture de la transparence financière, induisant une nouvelle vision du pilotage de l’activité et réinventant la communication financière, au bénéfice de toutes les parties prenantes.
Entrée en vigueur au 1er janvier 2023 et attendue au Maroc pour 2025, IFRS 17 vient en effet en remplacement de la norme IFRS 4, qui ne permettait pas la comparabilité entre entreprises d’assurance opérant dans des pays différents, en leur autorisant la possibilité d’utiliser les normes nationales moyennant quelques ajustements.
En introduisant des principes standards de valorisation du passif d’assurance autour d’une représentation économique, appliqués à toutes les entreprises, indépendamment du pays où elles sont implantées, IFRS 17 a pour objectif d’améliorer la transparence de la profitabilité et la comparabilité de l’information financière, garantissant notamment aux investisseurs que l’on parle partout le même langage.
Cette standardisation est aussi essentielle pour les actionnaires, permettant une meilleure comparabilité également entre les entités d’un groupe international, notamment au sein de celui auquel nous appartenons, Société Générale, répondant aux besoins de consolidation comptable.
Outre l’aspect de comparabilité, cette nouvelle norme requiert de basculer vers un modèle d’évaluation prospectif et en valeur économique, anticipant dès la souscription le profit à venir sur toute la durée du contrat. De plus, la norme introduit une nouvelle granularité des calculs permettant de fournir une information pertinente et plus fine.
Cette nouvelle approche améliore ainsi la qualité de l’information financière en ce sens qu’elle permet de fournir une information pertinente sur la rentabilité des contrats et la juste valeur de l’engagement.
Au-delà des aspects purement comptables et financiers, ce nouveau standard induit des bouleversements en matière organisationnelle et RH, exigeant une forte mobilisation de compétences pointues et impliquant une profonde transformation du processus de clôture des comptes, du système d’information et des outils.
l Quelles sont les stratégies clés de la Marocaine Vie pour se démarquer sur le marché de l’assurance ?
– La différenciation est un enjeu stratégique de La Marocaine Vie.
Le premier levier de différenciation repose sur notre capacité à développer des offres innovantes et différenciantes, au plus près des besoins de chaque segment de clientèle.
Précurseurs en matière d’unités de compte, avec le lancement en 2007, avec Société Générale Maroc, des premiers contrats multisupports sur le marché marocain, nous cumulons plus de 16 ans d’expérience et d’expertise sur le sujet permettant d’offrir à nos clients le meilleur accompagnement via le meilleur conseil en fonction de leurs objectifs en termes d’horizon de placement, de performance et de leur profil de risque.
uits exclusifs sur le marché de l’assurance de personnes. Je pense notamment à notre offre Retraite Multisupport Entreprise faisant bénéficier celles et ceux qui en font le choix des avantages d’une fiscalité retraite complémentaire et d’un accès aux marchés financiers (et aux opportunités qu’ils renferment), pour élargir leurs horizons.
Nous proposons aussi avec Société Générale Maroc une offre inédite bousculant les codes de l’épargne, Vital Multisupport Distribution, versant annuellement à l’épargnant les plus-values générées par son contrat, grâce à l’introduction du premier support en unités de compte distribuant au sein d’un contrat d’assurance-vie au Maroc.
Nous distribuons également à travers tout le réseau Société Générale Maroc des offres d’assurance santé complètes, Sehha et Vital Santé International, uniques sur le marché de la bancassurance au Maroc, conçues pour répondre au besoin de couverture de très haut niveau des professionnels (notamment libéraux).
Par ailleurs, je le rappelais également plus tôt, dans un contexte en profonde mutation faisant évoluer les attentes de clients de plus en plus en quête d’accessibilité et d’instantanéité, La Marocaine Vie place la transformation digitale au cœur de ses priorités.
Nous allons donc poursuivre notre dynamique d’accélération de la digitalisation (y compris en matière de robotisation des processus), au service d’expériences clients renouvelées et de parcours optimisés.
Nous avons notamment l’ambition de profiter de l’évolution du cadre réglementaire en lançant prochainement les premières ventes directes avec un parcours sans couture au service de nos assurés.
La signature électronique nous y aidera. Après son intégration à nos processus internes, elle s’élargira aux échanges avec nos clients, avec pour ambition d’accélérer et de booster les souscriptions à nos offres et de réinventer la relation et le suivi client grâce à des parcours fluidifiés.
Parallèlement, nous renforçons encore davantage l’agilité de nos processus, en dématérialisant notamment l’ensemble de nos correspondances clients.
Pour y parvenir, nous nous donnons les moyens de nos ambitions. Nous nous dotons notamment d’une infrastructure technologique robuste, fiable et extensible et de ressources qualifiées pour réussir notre transition numérique.
La poursuite de notre transformation digitale et de la rénovation de nos systèmes d’information est d’autant plus nécessaire qu’elle répond également à un autre de nos enjeux différenciants majeurs : la Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE).
Le digital favorise notamment l’inclusion financière, en atteignant des cibles à plus grande échelle, en s’adressant notamment à des populations qui n’ont pas facilement accès à nos offres et service. Il participe également à réduire notre empreinte carbone, en diminuant drastiquement la consommation de papier ayant un réel impact environnemental, au cœur du réchauffement climatique.
Dans la même veine, la satisfaction de nos clients est un enjeu majeur au centre de nos préoccupations. Étant de plus en plus difficile pour les entreprises de se différencier par le prix ou par le contenu de leurs offres, la qualité de service devient LE repère pour des clients de plus en plus focalisés sur le service offert.
À La Marocaine Vie, nous prenons le sujet très au sérieux et œuvrons au quotidien à nous améliorer en intégrant les clients dans la prise de décision. Nous avons notamment mis en place depuis 2017 une enquête annuelle pour prendre le pouls de notre relation clients, incluant la mesure du Net Promoter Score (NPS). Nous avons depuis progressivement perfectionné l’enquête, avec un élargissement du périmètre de mesure et l’intégration de nouveaux indicateurs au fil du temps, les enseignements qui en ressortent nous informant des améliorations de service que nous pourrions mettre en œuvre et orientant plusieurs décisions tactiques voire d’investissements.
l Pour limiter l’impact de l’inflation sur le capital de vos épargnants, vous avez annoncé avoir augmenté les taux servis sur le fonds en dirhams au titre de 2022. Est-ce parce que vous avez observé un changement de comportement chez vos clients en matière d’épargne dans un contexte inflationniste et de hausse des taux ? et suite aux changements de la fiscalité des produits de retraite complémentaire ?
– En effet, nous avons décidé d’accompagner nos assurés dans la valorisation de leur épargne, en affichant une politique de distribution volontariste, servant des taux de rendement à nos clients pour 2022 allant jusqu’à 3,3% sur le support en dirhams, en hausse de 10 points de base par rapport à 2021, nous situant ainsi dans la fourchette haute du marché.
Évidemment, l’inflation (pouvant remettre en cause l’intérêt des placements financiers qui détruiraient dans ce contexte de la valeur au lieu d’en créer), couplée à la hausse des taux d’intérêt destinée à l’endiguer et aux turbulences du marché boursier marocain (en recul de 20% en 2022) provoquées, a indéniablement provoqué un changement de comportement chez les épargnants.
Cette situation les pousse à privilégier ou se rediriger vers des valeurs dites refuges, comme les solutions d’épargne bancaire et financière sans risque (telles que les supports monétaires ou en dirhams), habituellement réservées à l’épargne de précaution.
Mais la comparaison n’est pas raison. L’assurance-vie ne doit pas être comparée aux autres instruments financiers parce que les vocations sont différentes, l’assurance-vie devant nécessairement s’envisager sur le long terme et qu’elle a le mérite de présenter d’autres arguments convaincants (comme la diversification et la transmission du patrimoine aux bénéficiaires de son choix en cas de décès en toute sécurité).
Le constat est le même s’agissant de la retraite complémentaire suite aux changements fiscaux introduits par la loi de finances 2023, marquant le pas par rapport à l’année précédente, s’agissant essentiellement des contrats individuels.
Fort heureusement, nous observons ces derniers mois un regain d’intérêt pour ces produits et une confiance peu à peu regagnée, grâce à une situation économique qui se stabilise et à un redressement du marché boursier, affichant une performance annuelle à + 12%.
Même constat à nouveau pour la retraite complémentaire. Notre responsabilité et devoir en tant qu’assureur pour pérenniser cet attrait retrouvé est de rappeler sans cesse que les avantages fiscaux liés au régime de retraite complémentaire, palliant les insuffisances des régimes de base, ont été pensés pour encourager la constitution d’une épargne à long terme et décourager les rachats précoces dans l’intérêt suprême des épargnants, de telle sorte à maintenir leur niveau de vie pour vivre confortablement après leurs 60 ans, en évitant toute déconvenue le moment venu (voire des situations dramatiques).
La baisse des rachats observée en 2023 tend d’ailleurs à démontrer que la vocation et la vertu long-termistes de ce produit ont été justement et correctement réaffirmées.
l Quelles sont les initiatives de la Marocaine Vie en termes de responsabilité sociétale d’entreprise et d’engagement auprès de ses parties prenantes ?
– Plus que jamais depuis l’avènement de la crise covid (qui aura encore davantage illustré ce qui était attendu de nous, assureurs, en termes de responsabilités), la RSE est devenue un levier incontournable.
Conscients de notre responsabilité grandissante à l’égard de la société et de l’environnement, nous avons entrepris et réalisé en 2021 et 2022 une série d’actions concrètes et réalistes en matière de RSE pour apporter notre contribution à un monde meilleur, s’articulant autour de nos trois engagements d’Assureur, d’Investisseur et d’Employeur Responsable.
À titre d’exemple, nous avons exclu de nos investissements directs toutes les entreprises dont le chiffre d’affaires est lié aux secteurs du charbon thermique et de l’extraction du gaz et du pétrole et renforcé la part des émetteurs et des fonds responsables dans notre portefeuille d’actifs financiers.
Nous avons aujourd’hui l’ambition d’aller un cran pour loin pour être à la hauteur des enjeux actuels et des attentes de toutes nos parties prenantes.
En ligne avec le groupe Société Générale et la démarche initiée par Société Générale Assurances, La Marocaine Vie renforce son engagement RSE en se transformant pour devenir RSE by Design.
Concrètement, il s’agit de ne plus séparer la RSE du business mais de la considérer de façon intrinsèque, revenant donc pour l’ensemble de nos collaborateurs à faire de la RSE sans s’en rendre compte, en l’intégrant comme un réflexe presque instinctif dans leur quotidien, leurs activités et leurs processus.
Dans cette perspective, ouvrant cette année à notre échelle un nouveau chapitre de notre ambition RSE, nous avons réuni ces derniers mois l’ensemble de nos managers pour traduire nos engagements d’Assureur, d’Investisseur et d’Employeur Responsable dans un plan d’action opérationnel, actionnable et suivi. De nos concertations en sont ressorties 17 actions RSE concrètes couvrant nos 5 activités prioritaires (Systèmes d’information, Ressources Humaines, Investissements, Création de produits et Relation Clients) avec pour chacune un ou des responsable(s) désigné(s) pour sa mise en œuvre.
Enfin, parce qu’un socle de connaissances commun est un prérequis fondamental pour une démarche réussie, nous avons accéléré la montée en compétences de nos collaborateurs en matière de RSE pour en faire des acteurs de la transformation de la compagnie et de sa transition écologique. Ce sont déjà parallèlement 30% de nos équipes qui sont alertées sur l’urgence d’agir pour le climat à travers la Fresque du Climat, avec pour ambition de « fresquer » à terme l’ensemble de nos collaborateurs (nouvelles recrues compris).