Un portail européen épingle Amnesty International pour sa mauvaise gouvernance et son manque de transparence financière
Le Portail européen « EU Briefs » a épinglé l’Organisation « Amnesty international » pour sa mauvaise gouvernance et son manque de transparence financière.
« Depuis la création d’Amnesty International (AI) une opacité, confidentialité et secrets entourent toutes les informations concernant cette Fondation/Société à responsabilité limitée qui utilise tous types de subterfuge abracadabresques pour ne pas se soumettre aux règles de bonne gouvernance, de bonne gestion, de transparence financière et de reddition des comptes dictées par le droit des sociétés des Etats où elle est représentée », écrit le Portail européen.
Dans un article intitulé « Amnesty International : organisation humanitaire ou arme d’intimidation et de déstabilisation », le site d’information européen souligne qu' »AI continue de se prévaloir de sa qualité de fondation humanitaire sans se soucier de réviser ses statuts en se conformant aux droits des associations des pays où elle est implantée et dans le cadre d’accords définissant clairement la nature de ses missions, ses objectifs réels et de se soumettre à l’obligation d’échanger avec les gouvernements concernés avant la publication de tous rapports et non après leurs publications en privilégiant la procédure inquisitoire rejetée par toutes les instances internationales de justice et droits de l’Homme ».
Selon Eu Briefs, il est « clairement établi » qu »Amnesty International « n’a pas la sincère volonté de faire son mea culpa », alors que dans les pays où elle intervient « aucun problème n’est résolu de manière définitive ».
Le portail estime que pour AI, « il semble que le soin de son image importe plus que la solution des problèmes qu’elle est censée résoudre ce qui permet de faciliter énormément la collecte des fonds, en se souciant peu d’éventuels conflits d’intérêts et en jouant beaucoup plus sur l’émotionnel que sur l’opérationnel et sur ses réalisations parfois lourdes de conséquences ».
Le site rappelle, dans ce sens, l »initiative malheureuse » d’Amnesty au profit du terroriste Oussama Atar qu’elle a fait libérer d’Irak avant qu’il prenne part activement à la préparation en 2016 des attentats de Paris et de Bruxelles.
Eu Briefs fait état, par ailleurs, d’une étude de l’AEGE, une association d’étudiants et d’anciens étudiants de l’École française de guerre économique, réalisée en 2014, qui avait analysé la provenance des financements de l’ONG et questionné aussi sur sa partialité quant au choix des cibles de ses campagnes et de ses positions politiques.
A cet effet, le site affirme que le choix des causes qu’AI « défend » et des pays où elle intervient reste complètement « aléatoire, despotique et injustifié ».
« A titre d’exemple, elle défend une personne en liberté dans un pays démocratique, qui n’encourt aucun risque ou une thématique sociopolitique et économique déjà résolue, alors qu’elle ferme les yeux, en devenant complice par son silence sous forme d’omerta, sur des emprisonnements et des tortures de masses, sur des froides exécutions par centaines, sur des déplacements forcés de population, sur des génocides, sur des milliers de personnes retenues contre leur gré en plein désert, sur des réseaux internationaux de traite des êtres humains, de violences faites aux femmes, aux enfants et aux minorités ethniques, religieuses ou de genre, sur les mafias d’immigration de masse d’un continent vers un autre, avec à chaque fois des drames innommables », pointe le portail.
Pour le site, la volonté « empreinte de beaucoup d’amateurisme » qui a poussé AI à se réorganiser et à réorienter ses activités « humanitaro-déstabilisatrices » a été imposée et dictée par « ses commanditaires invisibles pour essayer de faire oublier une série de scandales et de ratages ».
Le portail évoque notamment les « manœuvres misérabilistes puis intimidantes » pour « collecter des fonds auprès de Facebook et Google et que l’AI a surnommé par dépit: Les géants de la surveillance, parce qu’ils ont refusé de passer à la caisse…ceci rappelle la méthode mafieuse du racket ».
C’est dans le cadre de cette réorganisation, explique-ton, qu’Amnesty International « a vraiment dérapé en se concentrant sur la surveillance, digne du plus sombre service de renseignement des temps anciens, qu’elle exerce en continu dans les pays où elle est représentée à travers l’acquisition à coup de milliards d’équipements informatiques hyper sophistiqués de protection ( en réalité de contrôle et d’intrusion) et des faux réseaux ou pseudo experts, dont la majorité, ne possèdent ni l’estime de leur entourage ni leur propre estime, qui travaillent clandestinement sur sa recommandation ».
Selon le site, une grande partie des membres d’AI sont soi-disant bénévoles, mais ils sont en réalité « rémunérés en rapport avec la masse d’informations transmises ou des services rendus, aiguisant leurs appétits pour toujours produire même de la rumeur et de la désinformation qui est soit classée soit amplifiée selon les commandes et les conjonctures du moment : pression, campagnes médiatiques insidieuses, rapports mensongers, campagne de soutien à des fausses victimes et/ou fausses causes, voire déstabilisation, troubles et émeutes… ».
« Une autre bizarrerie interpelle l’opinion publique », relève le portail, notant qu’elle concerne le fait qu’AI continue d’être provisoirement gérée par une Secrétaire Général et un PDG par intérim, alors qu’une institution de son « calibre » n’aura en principe aucune peine à trouver « l’oiseau rare qui occupera officiellement le poste ».
Pour Eu Briefs, force est de constater que « là où Amnesty International intervient les problèmes s’aggravent, les drames s’amplifient et même si les citoyens du pays où « l’ONG/Société » agit se rapprochent d’un règlement adopté localement et d’un commun accord avec leur gouvernement, AI s’ingénie à le bloquer ce qui permet de croire que cette société « humanitaire » cherche beaucoup plus des problèmes aux solutions plutôt que l’inverse ».