Une « conférence » bidon pro-Polisario à Paris mise en échec et dévoile la cupidité pro-algérienne
Par Saad Bouzrou
Une « conférence-débat » sur « la liberté de la presse au Maroc » a été organisée, vendredi 15 février 2019 à Paris, par l’association de défense des droits de l’homme au Maroc (ASDHOM). Une désespérante mobilisation contre la cause nationale à laquelle participait plusieurs activistes et lobbyistes du Polisario, venus avec l’alibi de défendre Taoufiq Bouachrine afin d’achever leur sale besogne, mais qui a très vite tourné en eau de boudin.
Dans la salle le Maltais Rouge au 11ème arrondissement de Paris, plusieurs personnes sont venues assister à une conférence-débat sur « la liberté de presse au Maroc », organisée, entre autres, par Maati Monjib et l’ancienne présidente de « l’association marocaine des Droits de l’homme », Khadija Ryadi.
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Sauf qu’un train peut toujours en cacher un autre. Les « défenseurs des Droits de l’homme » invités à cette rencontre comptaient plusieurs lobbyistes du Polisario, à multiples facettes et à moult casquettes. Parmi eux, Nicole Gasnier, secrétaire générale de « l’Association des Amis de la RASD », Claude Mangin, épouse du criminel Naâma Asfari, condamné à trente ans de prison pour son implication dans les tragiques événements de Gdeïm Izik, et « amie de la cause sahraouie », ou encore Michèle Decaster, compagne de route de Claude Mangin et activiste pro-Polisario, apprend-t-on de notre confrère Le360.
Présents aussi à cet événement, Hicham Mansouri, un enseignant à Errachidia qui a fui le Maroc pour une affaire de mœurs, après avoir fait l’objet d’une plainte pour adultère ; Rosa Moussaoui, une journaliste à la solde des séparatistes du Polisario et un certain Hassane Zerrouky, un Franco-algérien « communiste » chargé d’animer le débat.
Mais le jet de fleurs aux récits séparatistes du Polisario s’est transformé en un jet de chaises, quand un certain nombre de marocains se sont élevés contre les défenseurs de la pseudo-RASD qui ont, explicitement, adhéré aux thèses hérétiques de l’entité fantoche, et plus exactement, quand Khadija Ryadi a traité ceux qui n’ont pas apprécié qu’elle parle de « Sahara occidental » au lieu de Sahara marocain, de « baltajias », elle qui n’ose jamais prononcer un mot sur les séquestrés de Tindouf.