Financement du terrorisme: la connexion polisario-Hezbollah dévoilée

Le quotidien allemand « Die Welt » a mis la lumière sur les connexions du front polisario avec le terrorisme et le jihadisme au Sahel, soulignant la responsabilité de l’Algérie dans le conflit artificiel autour du Sahara marocain. Selon le média allemand, le groupe polisario soutenu par l’Algérie est au cœur d’un scandale de blanchiment d’argent et d’un réseau obscur de financement du terrorisme exploité en Europe en connivence avec le Hezbollah, groupe militant chiite soutenu par l’Iran.

«Corruption, détournement de fonds, viols, génocide, crimes contre l’humanité : le polisario coche toutes les cages du front polisario est chargé». Citant des enquêteurs financiers, des rapports de la Guardia Civil espagnole et des experts du terrorisme, le quotidien allemand « Die Welt » a révélé ces derniers temps des relations et des transactions financières à grande échelle entre la milice du Polisario et un réseau du Hezbollah spécialisé dans le blanchiment d’argent par le biais du système hawala, qui transfère de l’argent via un mécanisme de compensation informel entre nœuds de change.

Une fois que l’argent est injecté dans le système financier formel, le Hezbollah transfère de la valeur à ses clients criminels en achetant et en vendant des biens, en utilisant des techniques classiques de blanchiment d’argent.

Selon le journal allemand, les enquêteurs ont découvert des transferts d’argent illicites entre de nombreux pays européens, dont l’Allemagne, la Belgique, la France et la Grande-Bretagne, ainsi que les États du Golfe et les camps de Tindouf contrôlés par le Polisario dans le sud de l’Algérie.

Le réseau commercial hawala du Polisario, « Tyres », a été mis en place à Tindouf par deux agents et courtiers du Polisario, Ahmed A et son associé Azman  se vantent de pouvoir transférer jusqu’à 50 000 euros n’importe où et n’importe quand.

Ces révélations confirment le lien Polisario-Hezbollah, tirant la sonnette d’alarme pour les experts du terrorisme et les agences internationales de lutte contre le terrorisme alors que l’Iran, un État parrain du terrorisme, étend son influence en Afrique de l’Ouest.

En outre, le régime des mollahs a fourni aux milices du Polisario des missiles et des drones menaçant la stabilité régionale, tandis que le Hezbollah a mis en place un site d’entraînement dans les camps de Tindouf pour les combattants du Polisario avec la bénédiction de la junte algérienne au pouvoir.

Les États-Unis ont déjà désigné le Hezbollah comme une organisation terroriste. Le moment est venu d’inclure la milice armée du Polisario et l’Algérie dans sa liste noire pour leurs liens établis avec le régime iranien !

Articles similaires

Laisser un commentaire

Bouton retour en haut de la page