La chaire “Lalla Meryem pour la Femme et l’Enfant”, une structure académique répondant aux préoccupations de la société
En exécution des Hautes Orientations Royales, et en réponse aux propositions faites par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Meryem, la chaire académique « Lalla Meryem pour la femme et l’enfant » a été créée en 2018, afin de garantir un débat large et intégral qui répond aux aspirations et préoccupations de la société relatives cette frange de la société.
Cette Chaire, présentée vendredi à Rabat à l’occasion de la cérémonie célébrant la journée internationale de la femme qui a été présidée par SAR la Princesse Lalla Meryem, Présidente de l’Union nationale des femmes du Maroc (UNFM), est porteuse d’une véritable valeur ajoutée dans la mesure ou elle participera à la proposition de politiques publiques et constituera une force de proposition au service de la femme et de l’enfant.
→ Lie aussi : UNFM: Lancement d’une nouvelle génération de centres de formation tri-disciplinaire
Les travaux de cette Chaire académique reposent sur une approche opérationnelle, pluridisciplinaire, complète et intégrée, garantissant une certaine synergie avec les différents acteurs institutionnels et académiques, un suivi des recherches scientifiques, des études sur le terrain et des expériences réussies, outre la mobilisation des ressources et des compétences.
En phase avec les orientations de SAR la Princesse Lalla Meryem qui place le capital humain au centre de la réflexion et des travaux de la Chaire afin de réaliser la justice sociale, les travaux du comité scientifique de cette Chaire ont débouché sur l’adoption d’un plan d’action sur deux ans comprenant des questions qui nécessitent une réflexion et une étude profonde à moyen terme, notamment sur « Les valeurs, levier pour la réhabilitation de la société marocaine », « Genie de l’action sociale, levier de la protection de la femme et de l’enfant », « Le mariage des mineurs, problématique sociale », « Les politiques publiques pour la protection de l’enfant en situation précaire » et « Les représentations sociales de la femme ».
Le comité scientifique a également porté son choix sur d’autres questions sujettes à des études à court terme liées à la culture de non-violence à l’égard des femmes.