Le Maroc est une voix entendue et respectée parmi les États africains
Le Maroc est une voix entendue et respectée parmi les États africains, a indiqué l’expert et académicien argentin Pablo Javier Zardini, estimant que le retour du Royaume au sein de l’Union africaine (UA) est un pas très positif à même de contribuer au développement du continent.
Dans une déclaration à la MAP en marge de la célébration, à Buenos Aires, de la Fête du Trône, M. Zardini a affirmé que « le Maroc a confirmé son statut de voix entendue et respectée parmi les pays africains », soulignant que le retour du Royaume au sein de l’UA « est un pas très positif à même de contribuer au développement du continent grâce au leadership du Maroc au sein de son espace régional ».
Et le chercheur argentin, qui occupe également le poste de directeur au sein d’un établissement de consulting en questions financières et en coopération internationale, de rappeler que les progrès réalisés au Maroc sous le règne de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, sur les plans politique et économique, ainsi que dans le domaine des droits de l’Homme, « sont impressionnants », ajoutant que le Maroc est devenu un modèle de développement économique aux niveaux régional et continental.
Les politiques engagées par le Souverain contribuent à la réalisation du développement et du progrès, d’autant plus que le Royaume jouit d’une stabilité politique et économique dans un environnement agité, a-t-il dit.
Le Maroc, sous la direction de Sa Majesté le Roi, a su répondre aux exigences sociales et a renforcé le rôle des institutions, des droits de l’Homme et du pluralisme, ce qui a donné lieu à un ensemble de résultats positifs au sein d’un pays désireux de renforcer les libertés et la démocratie, se transformant ainsi en un modèle à suivre, a estimé M. Zardini.
S’agissant de la coopération Sud-Sud à laquelle le Maroc a choisi d’adhérer, l’expert argentin a confirmé que cette coopération s’avère essentielle dans un monde multipolaire, en soulignant que la coopération entre les pays du Sud constitue une option envisageable pour une plus grande consolidation des bonnes relations culturelles et économiques entre des pays disposant de plusieurs programmes complémentaires qu’ils peuvent mettre en partage.