L’Allemagne toujours, soumise à rude épreuve terroriste

L’Allemagne n’en finit donc pas d’être l’un des points d’orgue des mouvances de l’intégrisme sanglant. Alors qu’elle était encore divisée en deux États, l’un communiste et l’autre libéral, tous deux hérités du partage léonin des grandes puissances USA et Union soviétique, vainqueurs en 1945 contre le nazisme, l’Allemagne est devenue une puissance économique hors pair.

Mais à partir de 1967, elle a commencé à connaître une vague de violences et de terrorisme hors pair. Formant un couple de sinistre mémoire, un certain Andreas Bader et sa compagne Ulrike Meinhof, appelés « Bande à Bader », avaient semé la terreur dans le pays.

La réunification des deux Allemagne après la destruction du Mur de Berlin en octobre 1989, le retour à l’unité du peuple, n’a pas pour autant enterré le terrorisme entretenu paradoxalement par des militants anticapitalistes opposés à la société de consommation.
Ce terreau a été la terre d’élection des réfugiés de toute la planète, qui fuyant la guerre, sont venus de Syrie, d’Irak et d’Afrique.

Ils forment une population particulière, ils sont venus en Allemagne y trouver refuge certes mais beaucoup aussi affiliés à des idéologies. On a découvert l’appartenance à Daech et aux groupes extrémistes et le gouvernement de Mme Merkel a prêté le flanc pour que beaucoup de citoyens allemands expriment leurs inquiétudes face à la complaisance offerte au groupe de Daech et autres radicalisés.

En offrant l’asile et le recyclage aux terroristes de l’Etat islamique, le gouvernement allemand court le risque de les innocenter tout simplement. Avec cette hypothèse qu’ils se redéploieront comme ce témoignage vidéo le démontre.

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