Candidat à la présidence de la CAF, l’Ivoirien Anouma veut réformer une institution « malade »

L’Ivoirien Jacques Anouma, candidat à la présidence de la Confédération africaine de football (CAF), a exprimé sa détermination à « réformer la gouvernance et la gestion » d’une « Confédération malade ».

« Nous ferons en sorte que toutes les décisions soient marquées du sceau de l’éthique et de l’équité », a ajouté M. Anouma lors de sa première conférence de presse depuis l’annonce de sa candidature à la présidence de la CAF, tenue vendredi à Abidjan.

A cette occasion, l’ancien président de la Fédération ivoirienne de football (FIF) a aussi décliné son programme axé sur trois points : renforcement des capacités des acteurs locaux, rétablissement des équilibres financiers et valorisation des compétences internes à travers la détection de nouveaux talents.

« Je veux m’atteler à un véritable programme de restauration de la CAF : son administration, ses ambitions, avec à sa tête un comité exécutif soudé. Pour cela, la modernité, la responsabilité et la transparence seront les valeurs au coeur de mon action », a-t-il dit.

Jacques Anouma est en lice avec trois autres candidats pour succéder au Malgache Ahmad Ahmad. Il s’agit de Patrice Motsepe (Afrique du Sud), Augustin Senghor (Sénégal) et Ahmed Yahya (Mauritanie).

Avec MAP

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